YAMOUSSOUKRO - Le Premier ministre ivoirien Guillaume Soro a déclaré jeudi avoir obtenu du président Laurent Gbagbo "48 heures supplémentaires" pour former le nouveau gouvernement, attendu depuis la dissolution vendredi du précédent cabinet par M. Gbagbo.
"Le chef de l`Etat a montré sa bonne volonté et a bien voulu accorder les
48 heures supplémentaires (demandées) pour que le Premier ministre puisse finaliser le gouvernement", a affirmé M. Soro à la presse, après une séance de travail avec M. Gbagbo dans la capitale politique Yamoussoukro.
"Nous ferons tout ce qu`il faut pour que personne ne soit laissé de côté, pour que la Côte d`Ivoire renoue avec la tranquillité", a-t-il lancé, insistant sur son objectif d`"un compromis, un consensus dans la mise en place du gouvernement".
"Nous allons continuer les discussions et je demande aux Ivoiriens de garder non seulement la sérénité mais l`espoir", a ajouté M. Soro.
La formation du cabinet achoppe sur la question de la participation de l`opposition, qui a conditionné son retour à un "rétablissement" de la Commission électorale indépendante (CEI) également dissoute.
Des manifestations d`opposants, parfois émaillées de violences, se sont poursuivies jeudi dans plusieurs villes du pays.
"Le chef de l`Etat a montré sa bonne volonté et a bien voulu accorder les
48 heures supplémentaires (demandées) pour que le Premier ministre puisse finaliser le gouvernement", a affirmé M. Soro à la presse, après une séance de travail avec M. Gbagbo dans la capitale politique Yamoussoukro.
"Nous ferons tout ce qu`il faut pour que personne ne soit laissé de côté, pour que la Côte d`Ivoire renoue avec la tranquillité", a-t-il lancé, insistant sur son objectif d`"un compromis, un consensus dans la mise en place du gouvernement".
"Nous allons continuer les discussions et je demande aux Ivoiriens de garder non seulement la sérénité mais l`espoir", a ajouté M. Soro.
La formation du cabinet achoppe sur la question de la participation de l`opposition, qui a conditionné son retour à un "rétablissement" de la Commission électorale indépendante (CEI) également dissoute.
Des manifestations d`opposants, parfois émaillées de violences, se sont poursuivies jeudi dans plusieurs villes du pays.