C’est dans la salle de conférence du Bureau national d’étude technique et de développement (BNETD) que s’est tenue le mercredi 29 septembre 2010 la cérémonie officielle de dédicace de l’ouvrage intitulé « l’Ivoirien nouveau » du Dr Ahoua Don Mello, Directeur Général du BNETD.
«L’Ivoirien nouveau» est une invitation à atteindre un idéal. Pour l’auteur, cette invite se décline comme un projet à entreprendre pour accéder au bien être tant personnel que collectif. Dès les premières pages du livre, l’auteur est mis en mission par le Président de la République qui l’exhorte à aller expliquer aux Ivoiriens «le fondement de la politique que Gbagbo propose». L’ouvrage est composé de 112 pages reparti en trois chapitres. Selon le conseiller technique, par ailleurs membre de la cellule veille et développement, Ludovic Ipou, le livre est avant tout une exhortation au travail. Aussi a-t-il déclaré que le chapitre premier intitulé « De la dépendance à l’indépendance », touche du doigt la problématique de la rationalisation de certains aspects culturels qui freinent aussi bien le développement individuel que collectif. D’où l’invitation de l’auteur à un changement de mentalité. Poursuivant il a fait remarquer dans le second chapitre « De l’indépendance économique au plein emploi », que l’auteur incite à l’obligation de moderniser et de rationaliser le potentiel agricole, culturel pour atteindre le développement réel. En outre, le conseiller technique du BNETD peut comprendre que le Dr Ahoua Don Mello suggère « la nécessité de repenser l’intégration régionale et sous-régionale pour avoir une place significative dans la mondialisation des économies ». Non sans ajouter que « l’Ivoirien nouveau » stigmatise les agissements à bannir pour être des citoyens au centre du développement de notre pays. L’auteur Ahoua Don Mello a indiqué que « la classe politique doit être porteuse de ce projet car elle est la seule entité à impulser l’Ivoirien nouveau pour amorcer le changement. A l’en croire, l’économie ivoirienne est sous traitée et dans les 50 années à venir, la priorité est de définir un espace économique et promouvoir un environnement économique. « Il est nécessaire de passer d’une économie de distribution à une économie d’accumulation par la création d’une économie familiale, la création du travail et de l’emploi », s’est exprimé le docteur ingénieur généraliste.
JMT
«L’Ivoirien nouveau» est une invitation à atteindre un idéal. Pour l’auteur, cette invite se décline comme un projet à entreprendre pour accéder au bien être tant personnel que collectif. Dès les premières pages du livre, l’auteur est mis en mission par le Président de la République qui l’exhorte à aller expliquer aux Ivoiriens «le fondement de la politique que Gbagbo propose». L’ouvrage est composé de 112 pages reparti en trois chapitres. Selon le conseiller technique, par ailleurs membre de la cellule veille et développement, Ludovic Ipou, le livre est avant tout une exhortation au travail. Aussi a-t-il déclaré que le chapitre premier intitulé « De la dépendance à l’indépendance », touche du doigt la problématique de la rationalisation de certains aspects culturels qui freinent aussi bien le développement individuel que collectif. D’où l’invitation de l’auteur à un changement de mentalité. Poursuivant il a fait remarquer dans le second chapitre « De l’indépendance économique au plein emploi », que l’auteur incite à l’obligation de moderniser et de rationaliser le potentiel agricole, culturel pour atteindre le développement réel. En outre, le conseiller technique du BNETD peut comprendre que le Dr Ahoua Don Mello suggère « la nécessité de repenser l’intégration régionale et sous-régionale pour avoir une place significative dans la mondialisation des économies ». Non sans ajouter que « l’Ivoirien nouveau » stigmatise les agissements à bannir pour être des citoyens au centre du développement de notre pays. L’auteur Ahoua Don Mello a indiqué que « la classe politique doit être porteuse de ce projet car elle est la seule entité à impulser l’Ivoirien nouveau pour amorcer le changement. A l’en croire, l’économie ivoirienne est sous traitée et dans les 50 années à venir, la priorité est de définir un espace économique et promouvoir un environnement économique. « Il est nécessaire de passer d’une économie de distribution à une économie d’accumulation par la création d’une économie familiale, la création du travail et de l’emploi », s’est exprimé le docteur ingénieur généraliste.
JMT