La présidentielle de novembre 2010 en Côte d'Ivoire a semé une zizanie donnant lieu à un cas inédit : deux présidents se disputant le fauteuil de la légitimité suprême.
L'un, Laurent Gbagbo, déclaré vainqueur puis installé dans ses fonctions de chef de l'Etat par le Conseil Constitutionnel ivoirien, comme cela se passe en France depuis l'avènement de la V ème République (de mémoire), et l'autre Alassane Ouattara, chouchou de la France et de l'Occident, proclamé gagnant depuis un hôtel du coin par une commission électorale indépendante après expiration du délais réglementaire de l'annonce des résultats provisoires.
De quoi donner le tournis à une population ivoirienne qui ne sait plus à quel saint se vouer...
De quoi s'interroger si Gbagbo finira par être... suite de l'article sur Le Post
L'un, Laurent Gbagbo, déclaré vainqueur puis installé dans ses fonctions de chef de l'Etat par le Conseil Constitutionnel ivoirien, comme cela se passe en France depuis l'avènement de la V ème République (de mémoire), et l'autre Alassane Ouattara, chouchou de la France et de l'Occident, proclamé gagnant depuis un hôtel du coin par une commission électorale indépendante après expiration du délais réglementaire de l'annonce des résultats provisoires.
De quoi donner le tournis à une population ivoirienne qui ne sait plus à quel saint se vouer...
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