Au moment où trois chefs d’Etat de la Cedeao arrivaient à Abidjan pour rencontrer le Président Gbagbo et comprendre l’ampleur de la fraude du Rdr ainsi que les atteintes aux Droits de l’Homme commises par les militants du parti centriste, l’Onuci avait un plan secret derrière la tête.
Croyant à un relâchement du dispositif de sécurité dans le Distinct d’Abidjan, les spadassins de Ban Ki-moon et Sarkozy ont tenté d’envahir la centrale thermique d’Azito à Yopougon Niangon. Dans le même village, les fameux Casques bleus ont essayé de pénétrer au Golf Hôtel avec un fort contingent d’hommes et de matériel militaire certainement destinés à ravitailler la coalition rebelle. Retour sur une journée au cours de laquelle Choï et ses sofas ont failli enflammer Abidjan. Il est 10 h passées de quelques minutes lorsque du côté du domicile du ministre Mel Théodore, les soldats des Fds commis à la sécurisation interceptent un impressionnant convoi de l’Onuci qui tentait de forcer leur dispositif de sécurité. Les Fds s’interposent et interrogent le responsable de l’équipage de l’Onuci sur l’itinéraire des fameux Casques bleus. Ils s’entendent dire que l’équipage se rendait au Golf Hôtel pour disent-ils effectuer une relève. A cet argument fallacieux, les Fds rétorquent que le chef de l’Etat a déjà ordonné, pour ne pas dire demander aux occupants du Golf Hôtel de rejoindre leurs domiciles respectifs. Il n’est donc plus question de faire perdurer la tempête du verre d’eau au Golf. Mais, ce qui a intrigué les Fds, c’est le nombre de véhicules composant le cortège. Il s’agissait environ d’une vingtaine de véhicules, 17 précisément. Sur ces 17 véhicules, l’on comptait 2 véhicules de transport de troupes. Et ce sont 52 soldats bangladais, puissamment armés qui voulaient renforcer leurs compères retranchés avec la rébellion au Golf Hôtel. Devant la fermeté des soldats ivoiriens, les curieux Casques bleus font mine de rebrousser chemin et reviennent sur leurs pas, empêchant l’armée ivoirienne de bien contrôler les véhicules qui arrivaient dans le dispositif. Au vu de la tournure des évènements, le Groupe d’escadron blindé de la gendarmerie nationale (Geb) est alerté. Sans perdre une seconde, les hommes du commandant Abéhi Jean Noël se déportent sur les lieux avec une force de frappe à même de parer à toute éventualité. Arrivés sur place, les gendarmes commandos et les militaires d’Akouédo en faction ne s’encombrent pas de fioritures pour indiquer à l’Onuci que leur tentative d’infiltration du Golf Hôtel a échoué et qu’ils doivent immédiatement quitter les lieux pour éviter un accrochage. C’est la queue entre les jambes que les fameux Casques bleus prennent la poudre d’escampette dans la mesure où leur présence avait commencé à attirer des curieux qui devenaient de plus en plus nombreux et menaçants. Ce cortège refoulé, un autre véhicule 4x4 avec à son bord 5 personnes (encore des fameux Casques bleus) est revenu peu de temps après à la charge. ‘’Gentiment et poliment’’, les soldats leur ont demandé de rebrousser chemin en attendant de recevoir des instructions de leur hiérarchie. Aux environs de 12h, la situation du côté de Cocody-Riviera était calme et est redevenue normale.
Croyant à un relâchement du dispositif de sécurité dans le Distinct d’Abidjan, les spadassins de Ban Ki-moon et Sarkozy ont tenté d’envahir la centrale thermique d’Azito à Yopougon Niangon. Dans le même village, les fameux Casques bleus ont essayé de pénétrer au Golf Hôtel avec un fort contingent d’hommes et de matériel militaire certainement destinés à ravitailler la coalition rebelle. Retour sur une journée au cours de laquelle Choï et ses sofas ont failli enflammer Abidjan. Il est 10 h passées de quelques minutes lorsque du côté du domicile du ministre Mel Théodore, les soldats des Fds commis à la sécurisation interceptent un impressionnant convoi de l’Onuci qui tentait de forcer leur dispositif de sécurité. Les Fds s’interposent et interrogent le responsable de l’équipage de l’Onuci sur l’itinéraire des fameux Casques bleus. Ils s’entendent dire que l’équipage se rendait au Golf Hôtel pour disent-ils effectuer une relève. A cet argument fallacieux, les Fds rétorquent que le chef de l’Etat a déjà ordonné, pour ne pas dire demander aux occupants du Golf Hôtel de rejoindre leurs domiciles respectifs. Il n’est donc plus question de faire perdurer la tempête du verre d’eau au Golf. Mais, ce qui a intrigué les Fds, c’est le nombre de véhicules composant le cortège. Il s’agissait environ d’une vingtaine de véhicules, 17 précisément. Sur ces 17 véhicules, l’on comptait 2 véhicules de transport de troupes. Et ce sont 52 soldats bangladais, puissamment armés qui voulaient renforcer leurs compères retranchés avec la rébellion au Golf Hôtel. Devant la fermeté des soldats ivoiriens, les curieux Casques bleus font mine de rebrousser chemin et reviennent sur leurs pas, empêchant l’armée ivoirienne de bien contrôler les véhicules qui arrivaient dans le dispositif. Au vu de la tournure des évènements, le Groupe d’escadron blindé de la gendarmerie nationale (Geb) est alerté. Sans perdre une seconde, les hommes du commandant Abéhi Jean Noël se déportent sur les lieux avec une force de frappe à même de parer à toute éventualité. Arrivés sur place, les gendarmes commandos et les militaires d’Akouédo en faction ne s’encombrent pas de fioritures pour indiquer à l’Onuci que leur tentative d’infiltration du Golf Hôtel a échoué et qu’ils doivent immédiatement quitter les lieux pour éviter un accrochage. C’est la queue entre les jambes que les fameux Casques bleus prennent la poudre d’escampette dans la mesure où leur présence avait commencé à attirer des curieux qui devenaient de plus en plus nombreux et menaçants. Ce cortège refoulé, un autre véhicule 4x4 avec à son bord 5 personnes (encore des fameux Casques bleus) est revenu peu de temps après à la charge. ‘’Gentiment et poliment’’, les soldats leur ont demandé de rebrousser chemin en attendant de recevoir des instructions de leur hiérarchie. Aux environs de 12h, la situation du côté de Cocody-Riviera était calme et est redevenue normale.