Les Chefs d’Etat et de Gouvernement ne veulent plus perdre de temps. Pour éviter que les pays de l’hinterland (Mali, Burkina et Niger) ne soient totalement asphyxiés et pour palier les difficultés consécutives à la crise ivoirienne, il est envisagé de recourir aux pays à façades maritimes. Des facilités seront de plus en plus envisagées tout comme des investissements devant permettre aux pays de l’hinterland de ne pas avoir à regretter la Côte d’Ivoire. Déjà, depuis le 1er janvier 2011, des actions sont menées pour accueillir les produits des pays sans façade maritime. Tous les scénarii ont été passés au peigne fin. Cependant, l’Union s’est toutefois engagée à maintenir la poursuite de la construction harmonieuse de l’espace communautaire par le biais de mesures nécessaires pour la normalisation des circuits d’échanges commerciaux entre la Côte d’Ivoire et les pays de l’hinterland. Un signal fort à la Côte d’Ivoire qui devra faire attention surtout qu’au niveau du Port d’Abidjan, ça ne va vraiment pas.
JEA
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