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Politique Publié le mardi 25 janvier 2011 | Le Patriote

Départ de Gbagbo : Pourquoi il faut faire confiance au Chef de l’Etat et à son Gouvernement

« Faites-moi confiance ». Cette phrase a été maintes fois prononcée par le chef de l’Etat, SEM. Alassane Dramane Ouattara, à des moments décisifs de la jeune histoire de notre pays. En appelant ainsi constamment ses compatriotes à lui faire confiance dans sa démarche à conquérir le pouvoir d’Etat et remettre la Côte d’Ivoire sur le chemin du développement, l’objectif du Président Ouattara est d’éviter de livrer le pays à la folie meurtrière et dévastatrice de la Refondation. Plus que jamais, les Ivoiriens doivent continuer à faire confiance au chef de l’Etat, tel qu’ils l’ont démontré le 28 novembre dernier, en lui donnant plus de 54% de leurs suffrages. Aujourd’hui, la méthode Ouattara est en marche et produit des effets tangibles quant à son engagement à prendre en main toutes les manettes du pouvoir d’Etat que le peuple lui a confié. Ainsi, le chef de l’Etat par son savoir-faire a réussi en quelques semaines après sa brillante victoire, à prendre les leviers de la diplomatie en nommant des Ambassadeurs auprès des Etats les plus puissants au monde. Et depuis, ses ministres sont reçus partout dans le monde nonobstant quelques poches de résistance qui seront très vite maîtrisées. La communauté financière internationale a pris des sanctions contre le régime illégale de Gbagbo et tous ceux qui le soutiennent. La cerise sur le gâteau, la Communauté économique monétaire ouest-africaine vient de réaffirmer le 22 Janvier dernier, la signature du nouveau chef de l’Etat sur les comptes de l’Etat de Côte d’Ivoire à la
BCEAO. Dans la foulée, les ports d’Abidjan et de San-Pedro sont interdits aux navires européens.

Ainsi, le pouvoir illégitime de Gbagbo se trouve sans ressources financière a même de soutenir sa forfaiture et continuer à narguer le peuple ivoirien et la communauté internationale. Le pouvoir est déjà acquis pour l’ancien DGA du FMI. C’est un fait indéniable. Le peuple ivoirien en a décidé ainsi et la Communauté international l’a entérinée. C’est une première au monde, l’unanimité de la communauté internationale autour de la victoire d’un opposant. En tant que disciple d’Houphouët-Boigny, le président Ouattara a toujours opté pour un règlement pacifique de la crise politique. Il a toujours eu à cœur la préservation des acquis de la Côte-d’Ivoire et la vie des Ivoiriens. Il est différent de celui qui dit à qui veut l’entendre : « mille morts à gauche, mille morts à droite, moi, j’avance».

Ibrahima B. Kamagaté
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