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Société Publié le mercredi 9 février 2011 | Le Mandat

Emile Konan Fréjus, Serviteur de Jésus-Christ, Producteur-Radio : “Que cachent les nouveaux monuments d’Abidjan ?”

© Le Mandat Par Prisca
Urbanisme : Cocody a un nouveau monument.
Un nouveau monument a été inauguré à Cocody le jeudi 20 mai 2010 en présence du maire et du gouverneur du district d`Abidjan.
Est-il insensé de s’interroger : «Comment des gens normaux, dotés de raison, peuvent-ils délibérément, bâtir en pleine chaussée, à un carrefour, un monument. Le prétexte est vite trouvé ; « On fait ça pour embellir la ville ». Mon œil ! Faire avaler une telle couleuvre même à un gamin, relèverait de la prouesse. C’est donc en toute logique que tous les commentaires sont permis ; chacun y va de son imagination ; on se met alors à supputer, épiloguer, chuchoter. « Où y a monument là, y a fétiche en bas ; des gens viennent faire sacrifices la nuit ». La rumeur fait le tour de la cité. Vrai ou faux ? difficile de savoir où est la vérité.

Mais, en tant que chrétiens, nés de nouveaux, remplis du Saint Esprit ; dans un pays en crise, il serait aberrant de rester indifférents face à ‘’ ces merveilles ‘’, du génie créateur de l’homme. Ô ! Apparemment, aux yeux de tous, ces ‘’merveilles’’ paraissent inoffensives.

Mais à y voir de plus près nos célèbres monuments ressemblent à des hauts lieux, c’est-à-dire des autels négatifs. Sinon, conducteurs de Gbaka, Woro-Woro, autobus, taxis et autres automobilistes… Pour quelle raison sacrifierait-on, la fluidité routière, (votre bien être) ? Pour un esthétisme aussi ridicule et dévalorisant ! Apprécier vous-mêmes.

Autre lieu, autre monument, autre décors. Ici, parfois, tard la nuit, des personnes aux allures suspectes se livrent à des pratiques bizarres. Ne nous dites pas que tout ça paraît normal ou gratuit ; Si c’est le cas, tant mieux. Et si c’était le contraire ?

Ouvrons nos yeux spirituels de croyants

2000-2011. Cela fait plus de dix (10) ans que le pays a perdu ses repères, embourbés que nous sommes dans une crise à rebondissements, avec son lot de victimes que nous pleurons chaque fois. Devrions-nous nous contenter seulement (comme tout le monde) de contempler la splendeur de « ces beautés » et sombrer dans un assoupissement spirituel sans nom ? Nous disons non !

Alors, ouvrons nos yeux spirituels comme nous le recommande l’évangile : « Ne craignez-point ; car, il n’ya rien de cacher qui ne doive être découvert ; ni de secret qui ne doive être connu. Parole du Seigneur Jésus (Mathieu 10 : 26). Sur la base de cette parole de foi et d’autorité, nous croyons qu’il est temps, grand temps, d’ouvrir nos yeux spirituels et essayer de lever un coin de voile sur ce que l’on pourrait nommer LE PHENOMENE DES MONUMENTS A ABIDJAN.

Ne nous dites surtout pas, qu’en agissant ainsi, nous cherchons une aiguille dans une meule de foin ! Même si ça y ressemble. Partout, le constat est le même : ces ouvrages sont bâtis à des points stratégiques de la ville (carrefours, voies fréquentées, « portes »). Pourquoi ?

Aux dires des connaisseurs, ‘’les carrefours’’ et ‘’ les portes ‘’ renferment beaucoup de mystères.

En parcourant le livre du frère SOUMAH YADI traitant du mystère des portes dans le combat spirituel, nous avons recueilli une foule d’informations sur les portes d’accès aux mondes parallèles. Ancien pratiquant des sciences occultes, l’homme, converti depuis plusieurs années au christianisme, sait de quoi il parle.

Le monde parallèle, (selon les mystiques) est un espace spirituel dans lequel plusieurs mondes cohabitent, presque sans contact physique, sans interférence matérielle.

Ainsi, un espace qui, à nos yeux, est un amas de cases, peut être, pour d’autres êtres, une grande ville moderne qui grouille d’activités. De même, ce qui, à nos yeux, est un simple carrefour ou un terrain abritant un monument consacré, pourrait devenir à partir d’une certaine heure, « une porte », un haut lieu de transactions et de trafics pour toutes sortes de pratiques mystiques et idolâtres.

Les carrefours, par essence, on le voit tous, sont des lieux spirituellement chargés. A preuve, c’est là qu’on découvre souvent au petit matin, des canaris, des calebasses et d’autres objets de sacrifices. C’est aussi à ces endroits que des noctambules surprennent parfois des personnes (presqu’en tenue d’Adam ou d’Eve) se livrant à toutes sortes de rituels.

Hypothèses : si dans le cas d’espèce, nos monuments étaient spirituellement chargés, cela répond à quelle besoin ?

A qui profiteraient de telles activités ténébreuses ? Tout cela serait-il en rapport avec la durée de la crise ?

Qui a intérêt à polluer l’atmosphère spirituelle de la capitale économique de la Côte d’Ivoire, pays dit béni de Dieu ?

Autre question : le Dieu, que nous confessons et proclamons tous s’accommoderait-il de pratiques idolâtres ? Bien sûr que non ! D’ailleurs, tout au long de la Bible, nous voyons avec quelle sévérité Dieu réprima l’idolâtrie.

On a en mémoire l’histoire du veau d’or (Exode 32) qui a entrainé au cours d’une seule journée la mort de 3 000 israélites. De même, le face-à-face entre le Prophète Elie (Prophète de l’Eternel) et les 450 prophètes de BAAL a coûté la vie aux derniers cités (1 Roi 18 : 40). Comme on le voit, le Dieu créateur de l’univers, dont nous nous réclamons (pour ce que nous savons), ne partage pas sa gloire avec un autre. Notre démarche, certes fondée sur des hypothèses, n’a aucune valeur affirmative.

Soit ! Cependant, comment expliquer la perversion de l’excellent travail de nos éminents urbanistes et ingénieurs des ponts et chaussés d’antan, ceux là-mêmes, qui ont construit nos voies publiques selon les règles de l’art.

Les bâtisseurs de monuments auront du mal à nous convaincre. « Cette affaire là ne doit pas être très claire », nous disaient récemment quelques riverains. C’est leur droit de penser ainsi. Quoi qu’il en soit, s’il y a problème, il demeure, pour un temps seulement ; car fort heureusement, Dieu a solution à tout.

C’est ici qu’il faut faire des prières violentes

Au cours de son voyage missionnaire à Athènes, l’Apôtre Paul s’est irrité à la vue de cette ville de la Grèce antique pleine d’idoles, au point de dédier une statue à un dieu inconnu. A la manière de Paul, nous aussi devrions être animés d’une sainte colère, en présence de tout élément spirituel, pouvant contrarier le règne de Dieu dans notre pays. Un règne de paix, d’abondance, de prospérité, de justice et d’amour, ce qui est tout le contraire du règne des esprits méchants et des démons de sang. « Le diable ne vient que pour voler, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que mes brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance ». Parole du Seigneur Jésus (Jean 10 : 10).

A l’évidence, les esprits méchants et ces démons de la mort sont les premiers ennemis de notre pays. Tapis dans l’ombre, peut être de certains monuments, (si l’hypothèse est avérée) ou en d’autres lieux, ils attendent, tel un fauve à l’affût, la moindre étincelle pour faire couler le sang innocent. Mais faire tout ça pourquoi ? Polluer spirituellement la cité, envoûter les âmes qui y vivent ; et imposer une certaine hégémonie pas toujours perceptible à l’œil nu.

Une fois de plus, chers frères et sœurs en Christ, la crise actuelle nous donne l’opportunité de traiter les autels négatifs de notre pays, dans un combat spirituel digne de ce nom suivi d’actions prophétiques.

Le carrefour de la mort, est mort de sa belle mort, lorsque des gens de foi se sont levés pour renverser spirituellement l’autel négatif de la mort qui régnait dans ce lieu. Or, Dieu a mis entre les mains de ses enfants qui lui obéissent des armes spirituelles d’une efficacité, à nulle autre pareille.

« Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles ; mais elles sont puissantes par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses » (2 Corinthiens 10 : 4).

Chrétiens de Côte d’Ivoire, la balle est dans notre camp.

Si nous la saisissons au bond, nous pourrions libérer spirituellement notre pays, et ouvrir ainsi un grand boulevard de succès à tous les autres combats. Sans ce préalable, tout le reste ne sera que vanité… Vanité des vanités, poursuite du vent !

N.B : Le combat spirituel et les actions prophétiques impliquent la prière ; rien que la prière, sur la base de la parole de Dieu.

Emile KONAN Fréjus

Serviteur de JESUS CHRIST,
Producteur-Radio
e-mail.ekfpkli@yahoo.fr
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