Il croit nuire à autrui. C’est vrai, l’inimaginable décision prise par le chef de la refondation au lendemain de sa défaite à l’élection présidentielle, fait souffrir le bon peuple de Côte d’Ivoire. L’économie du pays tombe en ruine. Des entreprises mettent la clé sous le paillasson chaque jour que Dieu fait. Le pouvoir d’achat des citoyens connaît une chute vertigineuse. Les ménagères
sont obligées de se triturer les méninges pour offrir un repas potable à leur maisonnée avec des condiments aussi maigres que des aiguilles. Le pays devient de plus en plus pauvre. Le bon peuple de Côte d’Ivoire tire le diable par la queue. Mais en fin de compte, quand le supplice aura pris fin, celui qui en gardera les séquelles, ne sera que l’ancien opposant historique. En agissant
comme il le fait actuellement, il croit faire du tort au vainqueur de la présidentielle 2010. Il oublie que le peuple dans la galère, maudit celui qui le maintient dans une situation aussi calamiteuse. Il se dit que si le perdant de l’élection devant sanctionner la sortie de crise, avait reconnu sa défaite avec
élégance, il ne serait pas aujourd’hui en train de bailler de faim. Maudit soit donc celui qui condamne notre carré à la misère, à la disette. Le nombre de chômeurs augmente. Pendant leur règne de dix ans, ils n’avaient offert aux populations aucun emploi. Les jeunes n’étaient bons que pour servir de chair à canon ou de bétail pour grossir les rangs des applaudisseurs lors des grands rassemblements organisés par la refondation et ses tenants pour tromper le
bon peuple de Côte d’Ivoire. Celui qui les confinait hier à des rôles de figurants sur la scène publique, est le même qui continue de les malmener après une élection transparente et libre. Ce méchant grand loup ne peut que s’attirer leurs foudres. Comme parmi ces êtres qui mangent du pain rassis, il y a également ses partisans, il va sans dire que le nombre des mécontents du
comportement du Machiavel des Lagunes s’accroît. Les effets du refus du candidat de la refondation de reconnaître la victoire du candidat du RHDP, fonctionneront à son égard comme un boomerang. Il recevra, en pleine figure, le retour de ses actes hautement criminels. Ainsi donc sera pris, celui qui croyait prendre. Et son nom, dans l’Histoire de ce pays, évoquera souffrances
et malheurs. Un lourd et encombrant héritage que ses descendants auront à porter pendant de très longues années. Etait-ce là le but de sa vie ? Pas évident. Hélas !
Trait d’esprit Wanted !
Mister Gervais Coul. Vous vous souvenez ? Il se croyait le nombril du système.
Petit porte-parole de la Présidence. Monsieur autrefois bien érigé en insulteur
public. Et patati patatra. A l’heure du partage du gâteau. L’homme a été oublié.
Depuis lors, c’est le profil bas. Son rêve de devenir ministre brisé. Pitié pour un frère. Il est wanted ! Si vous le voyez, réconfortez-le.
Coulibaly B.
sont obligées de se triturer les méninges pour offrir un repas potable à leur maisonnée avec des condiments aussi maigres que des aiguilles. Le pays devient de plus en plus pauvre. Le bon peuple de Côte d’Ivoire tire le diable par la queue. Mais en fin de compte, quand le supplice aura pris fin, celui qui en gardera les séquelles, ne sera que l’ancien opposant historique. En agissant
comme il le fait actuellement, il croit faire du tort au vainqueur de la présidentielle 2010. Il oublie que le peuple dans la galère, maudit celui qui le maintient dans une situation aussi calamiteuse. Il se dit que si le perdant de l’élection devant sanctionner la sortie de crise, avait reconnu sa défaite avec
élégance, il ne serait pas aujourd’hui en train de bailler de faim. Maudit soit donc celui qui condamne notre carré à la misère, à la disette. Le nombre de chômeurs augmente. Pendant leur règne de dix ans, ils n’avaient offert aux populations aucun emploi. Les jeunes n’étaient bons que pour servir de chair à canon ou de bétail pour grossir les rangs des applaudisseurs lors des grands rassemblements organisés par la refondation et ses tenants pour tromper le
bon peuple de Côte d’Ivoire. Celui qui les confinait hier à des rôles de figurants sur la scène publique, est le même qui continue de les malmener après une élection transparente et libre. Ce méchant grand loup ne peut que s’attirer leurs foudres. Comme parmi ces êtres qui mangent du pain rassis, il y a également ses partisans, il va sans dire que le nombre des mécontents du
comportement du Machiavel des Lagunes s’accroît. Les effets du refus du candidat de la refondation de reconnaître la victoire du candidat du RHDP, fonctionneront à son égard comme un boomerang. Il recevra, en pleine figure, le retour de ses actes hautement criminels. Ainsi donc sera pris, celui qui croyait prendre. Et son nom, dans l’Histoire de ce pays, évoquera souffrances
et malheurs. Un lourd et encombrant héritage que ses descendants auront à porter pendant de très longues années. Etait-ce là le but de sa vie ? Pas évident. Hélas !
Trait d’esprit Wanted !
Mister Gervais Coul. Vous vous souvenez ? Il se croyait le nombril du système.
Petit porte-parole de la Présidence. Monsieur autrefois bien érigé en insulteur
public. Et patati patatra. A l’heure du partage du gâteau. L’homme a été oublié.
Depuis lors, c’est le profil bas. Son rêve de devenir ministre brisé. Pitié pour un frère. Il est wanted ! Si vous le voyez, réconfortez-le.
Coulibaly B.
