C’est un véritable passe- temps, doublé d’un loisir, que d’écouter les partisans de Laurent Gbagbo. La semaine dernière, par temps de grand miracle, j’ai regardé la télévision Première Chaîne. Ce jour-là, j’ai d’abord vu les deux larrons en foire, Jean Jacques Béchio et Boga Sako Gervais, en plein délire et ergotage. Le fait était bien aisé pour eux. En face, il n’y avait pas de contradiction. Ils pouvaient donc se livrer à un verbiage et un inutile bavardage. C’est là justement que réside le drame intérieur de ce type de petites gens. L’insulte, l’irrévérence, la calomnie n’ont jamais été des actes de bravoure et de vérité. Pitié pour ces pauvres hères, qui errent sans fin.
Après ces deux saltimbanques de Laurent Gbagbo, on a eu droit à la partition de Charles Blé Goudé, le plus vieux des jeunes patriotards de la refondation. Lui a passé le clair de son temps, comme il sait si bien le faire, à insulter Blaise Compaoré, Alassane Ouattara, la France et l’ONU. Ce qui m’a fait marrer dans son monologue, c’est le fait d’avoir dit que le problème de la Côte d’Ivoire n’est plus une affaire d’élection, mais de libération du pays. C’était vraiment amusant d’entendre cela. La mauvaise foi est manifeste. Notre problème est bel et bien lié à la dernière présidentielle, par la faute du mauvais perdant, Laurent Gbagbo, qui refuse de reconnaitre sa débâcle et qui s’essaie à confisquer les rênes du pouvoir. C’est la préoccupation des Ivoiriens. Le combat pour la libération n’est plus à l’ordre du jour. Il a été mené avec brio par Houphouët-Boigny et ses compagnons qui ont obtenu notre Indépendance. Gbagbo et ses amis espèrent pouvoir manipuler l’opinion. Aucun Ivoirien ne vit une quelconque aliénation si ce n’est celle que veut nous faire subir les dirigeants de la vague refondation. La seule lutte qui s’impose à nous, c’est celle de la démocratie et de la liberté. C’est pourquoi, comme un seul homme, les Ivoiriens doivent se dresser devant la forfaiture de Gbagbo, dans la droite ligne du message du Premier ministre Guillaume Soro. Pour que, très rapidement, la chouette de Minerve prenne son envol, pour faire accoucher la nouvelle aube en gestation
Après ces deux saltimbanques de Laurent Gbagbo, on a eu droit à la partition de Charles Blé Goudé, le plus vieux des jeunes patriotards de la refondation. Lui a passé le clair de son temps, comme il sait si bien le faire, à insulter Blaise Compaoré, Alassane Ouattara, la France et l’ONU. Ce qui m’a fait marrer dans son monologue, c’est le fait d’avoir dit que le problème de la Côte d’Ivoire n’est plus une affaire d’élection, mais de libération du pays. C’était vraiment amusant d’entendre cela. La mauvaise foi est manifeste. Notre problème est bel et bien lié à la dernière présidentielle, par la faute du mauvais perdant, Laurent Gbagbo, qui refuse de reconnaitre sa débâcle et qui s’essaie à confisquer les rênes du pouvoir. C’est la préoccupation des Ivoiriens. Le combat pour la libération n’est plus à l’ordre du jour. Il a été mené avec brio par Houphouët-Boigny et ses compagnons qui ont obtenu notre Indépendance. Gbagbo et ses amis espèrent pouvoir manipuler l’opinion. Aucun Ivoirien ne vit une quelconque aliénation si ce n’est celle que veut nous faire subir les dirigeants de la vague refondation. La seule lutte qui s’impose à nous, c’est celle de la démocratie et de la liberté. C’est pourquoi, comme un seul homme, les Ivoiriens doivent se dresser devant la forfaiture de Gbagbo, dans la droite ligne du message du Premier ministre Guillaume Soro. Pour que, très rapidement, la chouette de Minerve prenne son envol, pour faire accoucher la nouvelle aube en gestation
