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Politique Publié le mercredi 23 février 2011 | Nord-Sud

En un mot

La Cedeao critique la mission de l'Ua
La Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao) a critiqué, mardi, le maintien de la mission du panel de l'Union africaine (Ua) à Abidjan, malgré l'absence du président burkinabé, Blaise Compaoré pour des questions sécuritaires.
« La Commission de la Cedeao s'est inquiétée de voir que le panel a malgré tout décidé d'effectuer immédiatement la visite, sans la participation d'un membre important, dont les contributions au processus de paix en Côte d'Ivoire sont inestimables et méritent de meilleures appréciations et davantage de respect », a estimé la Cedeao dans un communiqué visant à "clarifier la non-participation de la délégation ouest-africaine".

Jacob Zuma hué au Golf
Au sortir de la rencontre entre le panel des chefs d'Etat de l'Union africaine et le président Alassane Ouattara, Jacob Zuma, le président sud-africain a été accueilli par des huées de jeunes Ivoiriens qui l'attendaient à l'entrée du Golf hôtel. Ils scandaient des slogans tels que « Jacob Zuma, voleur !» ; « Zuma, dis la vérité ! » ou encore, « Zuma, on est désolé ». Toute chose qui n'était pas du goût de la garde rapprochée de l'incriminé qui devenant très nerveuse, qui s'en est presque pris à la presse.

53% des Ivoiriens favorables à l'intervention de l'Ecomog
Selon un sondage réalisé par le site internet afreekelection.com, 53,8% des Ivoiriens seraient favorables à l'intervention de l'Ecomog en Côte d'Ivoire, contre 46,3%. Ces chiffres ressemblent étrangement au résultat du second tour de la présidentielle, tel que proclamé par la Commission électorale indépendante. Comme si les Ivoiriens ayant voté pour Alassane Ouattara voulaient à tout prix exprimer une nouvelle fois, le choix opéré dans les urnes et qui leur a été injustement dénié par le président du Conseil constitutionnel, Paul Yao N'dré.
La révolution rouge de Daoukro
C'est en rouge que les populations du département de Daoukro ont décidé de se vêtir pour épouser la révolution populaire en marche contre le pouvoir de Laurent Gbagbo. Il s'agit pour ces populations de délivrer un “carton rouge'' à l'ex-chef d'Etat qui s'accroche désespérément au pouvoir. « La révolution a commencé. Et, que l'armée sache qu'elle ne peut pas continuer à tirer sur les populations », a déclaré un des manifestants.
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