La vie est sacrée. On n’a pas le droit d’ôter la vie à quelqu’un. Ce n’est pas normal ce qui se passe actuellement. Je ne peux pas soutenir cela, ni l’Eglise Catholique d’ailleurs. Nous pensons que la vie est sacrée et que rien ne justifie ces tueries, d’où qu’elles viennent. Car personne n’a le droit d’ôter la vie à son prochain.
Mme Kaba Fanta
(Cercle Libéral) :
« Notre sentiment d’impuissance devient intenable »
Je ne trouve pas les mots pour exprimer mon indignation, ma révolte. Je ne comprends pas car c’est inadmissible ce qui se passe. Jusqu’à combien de morts faut-il pour qu’on mette fin à ce massacre ? Je suis tellement ébahie que je tiens encore la tête entre les mains pour pouvoir comprendre. Nous crions au secours, nous demandons que les choses aillent plus rapidement. Nous demandons au Président élu de regarder ce qui se passe. A la communauté internationale, nous disons que si elle ne peut rien dire, qu’elle cesse de nous distraire. Nous demandons à la CEDEAO, à l’ONU de venir aider Choï sur le terrain. J’ai mal à la tête, la population n’arrête pas de souffrir. Notre sentiment d’impuissance devient intenable.
Maurice Guikahué
(RHDP) :
« le Président Alassane lui tend la main, il répond par des tueries »
Ces tueries sont inadmissibles et ce sont des massacres injustifiés. Laurent Gbagbo a perdu les élections. C’est lui-même qui a demandé à et la commission de l’Union Africaine d’enquêter et cette commission a démontré qu’il a perdu les élections. Aujourd’hui, le Président Alassane Ouattara lui tend la main, il répond par des tueries. Ce sont des massacres inutiles.
Me N’Gouan Patrick
(Convention de société civile de Côte d’Ivoire) :
« Nous attendons de Gbagbo un discours d’apaisement »
Nous dénonçons ces tueries massives qui ont lieu ces derniers temps. Au siège de notre mouvement, vous pouvez constater que les différents drapeaux de nos ONGs sont en berne, car nous estimons que nous sommes en deuil. Ce sont des actes sont condamnables. Nous avions demandé à l’Union Africaine d’obliger nos deux belligérants à arrêter ces massacres, qui n’ont aucune justification. Nous allons faire une déclaration au temps opportun. M. Ouattara, dans son discours a fait un appel à l’apaisement. Nous attendons le discours de M. Laurent Gbagbo et nous souhaitons qu’il en fasse autant.
Propos recueillis par Sogona Sidibé
Mme Kaba Fanta
(Cercle Libéral) :
« Notre sentiment d’impuissance devient intenable »
Je ne trouve pas les mots pour exprimer mon indignation, ma révolte. Je ne comprends pas car c’est inadmissible ce qui se passe. Jusqu’à combien de morts faut-il pour qu’on mette fin à ce massacre ? Je suis tellement ébahie que je tiens encore la tête entre les mains pour pouvoir comprendre. Nous crions au secours, nous demandons que les choses aillent plus rapidement. Nous demandons au Président élu de regarder ce qui se passe. A la communauté internationale, nous disons que si elle ne peut rien dire, qu’elle cesse de nous distraire. Nous demandons à la CEDEAO, à l’ONU de venir aider Choï sur le terrain. J’ai mal à la tête, la population n’arrête pas de souffrir. Notre sentiment d’impuissance devient intenable.
Maurice Guikahué
(RHDP) :
« le Président Alassane lui tend la main, il répond par des tueries »
Ces tueries sont inadmissibles et ce sont des massacres injustifiés. Laurent Gbagbo a perdu les élections. C’est lui-même qui a demandé à et la commission de l’Union Africaine d’enquêter et cette commission a démontré qu’il a perdu les élections. Aujourd’hui, le Président Alassane Ouattara lui tend la main, il répond par des tueries. Ce sont des massacres inutiles.
Me N’Gouan Patrick
(Convention de société civile de Côte d’Ivoire) :
« Nous attendons de Gbagbo un discours d’apaisement »
Nous dénonçons ces tueries massives qui ont lieu ces derniers temps. Au siège de notre mouvement, vous pouvez constater que les différents drapeaux de nos ONGs sont en berne, car nous estimons que nous sommes en deuil. Ce sont des actes sont condamnables. Nous avions demandé à l’Union Africaine d’obliger nos deux belligérants à arrêter ces massacres, qui n’ont aucune justification. Nous allons faire une déclaration au temps opportun. M. Ouattara, dans son discours a fait un appel à l’apaisement. Nous attendons le discours de M. Laurent Gbagbo et nous souhaitons qu’il en fasse autant.
Propos recueillis par Sogona Sidibé
