La crise ivoirienne n'en finit pas de diviser le monde au-delà de la Côte d'Ivoire. Que ce soit dans les milieux politiques et diplomatiques ou dans l'opinion publique, en Afrique comme en Occident, chacun choisit son camp en fonction des accointances, des intérêts et des informations dont il dispose.
En Occident surtout, où l'opinion publique est plutôt habituée aux chefs d'Etat africains prompts à truquer les élections ou à imposer la guerre pour se maintenir au pouvoir contre la volonté de leurs peuples, la crise ivoirienne est perçue autrement. Au choix, un démocrate ou un ange, Alassane Dramane Ouattara, qui a gagné la présidentielle, et un démon ou un dictateur, Laurent Gbagbo, qui a perdu mais veut se maintenir au pouvoir coûte que coûte. Soit. L'erreur de la... suite de l'article sur Slate Afrique
En Occident surtout, où l'opinion publique est plutôt habituée aux chefs d'Etat africains prompts à truquer les élections ou à imposer la guerre pour se maintenir au pouvoir contre la volonté de leurs peuples, la crise ivoirienne est perçue autrement. Au choix, un démocrate ou un ange, Alassane Dramane Ouattara, qui a gagné la présidentielle, et un démon ou un dictateur, Laurent Gbagbo, qui a perdu mais veut se maintenir au pouvoir coûte que coûte. Soit. L'erreur de la... suite de l'article sur Slate Afrique