Le ministre de la Défense, Gérard Longuet, a
souligné jeudi que la France était "dans une logique de diminution" de ses
effectifs militaires en Afrique, au profit d'"un partenariat de conseil,
d'encadrement et de formation" avec les pays africains.
"Les accords de défense bilatéraux entre la France et un certain nombre de
pays africains ont été renégociés progressivement. De mémoire, six sur huit
l'ont été", a-t-il déclaré lors de son audition par les sénateurs sur
l'intervention militaire française en Côte d'Ivoire.
"Les effectifs de présence militaire française en Afrique sont en constante
diminution, qui est (...) le résultat d'accords bilatéraux nouveaux où la
présence est remplacée par la coopération", a poursuivi M. Longuet.
Selon lui, la France est désormais "dans une logique de diminution de (sa)
présence quantitative et de partenariat de conseil, d'encadrement, de
formation non exclusifs. Et les pays africains le savent".
"Nos militaires en Afrique sont absolument décidés à devenir de plus en
plus des coopérants et de moins en moins des intervenants", a-t-il souligné.
"Les forces de présence (françaises) qui existent à Djibouti et au Gabon -
mais plus à Dakar - expriment bien la volonté de nos partenaires africains de
nous voir évoluer vers le conseil et la formation, sans le faire trop
rapidement parce qu'ils n'ont pas la certitude que tout soit très clairement
établi et installé à cet instant", a poursuivi le ministre.
souligné jeudi que la France était "dans une logique de diminution" de ses
effectifs militaires en Afrique, au profit d'"un partenariat de conseil,
d'encadrement et de formation" avec les pays africains.
"Les accords de défense bilatéraux entre la France et un certain nombre de
pays africains ont été renégociés progressivement. De mémoire, six sur huit
l'ont été", a-t-il déclaré lors de son audition par les sénateurs sur
l'intervention militaire française en Côte d'Ivoire.
"Les effectifs de présence militaire française en Afrique sont en constante
diminution, qui est (...) le résultat d'accords bilatéraux nouveaux où la
présence est remplacée par la coopération", a poursuivi M. Longuet.
Selon lui, la France est désormais "dans une logique de diminution de (sa)
présence quantitative et de partenariat de conseil, d'encadrement, de
formation non exclusifs. Et les pays africains le savent".
"Nos militaires en Afrique sont absolument décidés à devenir de plus en
plus des coopérants et de moins en moins des intervenants", a-t-il souligné.
"Les forces de présence (françaises) qui existent à Djibouti et au Gabon -
mais plus à Dakar - expriment bien la volonté de nos partenaires africains de
nous voir évoluer vers le conseil et la formation, sans le faire trop
rapidement parce qu'ils n'ont pas la certitude que tout soit très clairement
établi et installé à cet instant", a poursuivi le ministre.