ABIDJAN - Le parti de Laurent Gbagbo a appelé samedi à Abidjan à "arrêter la guerre" et "l'escalade de la violence" et a prôné la "réconciliation" avec le camp du nouveau chef de l'Etat Alassane Ouattara, après l'arrestation lundi de l'ex-président ivoirien.
"En maints endroits, certains de nos compatriotes sont encore en train de
se battre, à Yopougon notamment (quartier pro-Gbagbo de l'ouest d'Abidjan),
pour refuser la loi des armes", a déclaré Pascal Affi N'Guessan, président du
Front populaire ivoirien (FPI), accompagné notamment de l'ex-ministre des
Affaires étrangères de M. Gbagbo, Alcide Djédjé.
"Nous devons arrêter l'escalade de la violence et de la déchéance", a-t-il
souligné au cours d'une déclaration dans un hôtel d'Abidjan, où ils ont trouvé
refuge avec d'autres personnalités de leur camp, protégés par les Forces
républicaines (FRCI) de M. Ouattara et celles de l'ONU.
M. Gbagbo a été arrêté lundi par les FRCI appuyées par la France et l'ONU à
l'issue d'une guerre de dix jours dans Abidjan.
"Au nom de la paix, arrêtons la guerre, mettons fin à toute forme de
belligérance et de confrontation", a poursuivi M. Affi, appelant aussi à
libérer les personnes arrêtées, dont M. Gbagbo, afin qu'il prenne "part à la
réconciliation nationale".
"Il faut donner une chance à la restauration et à la reconstruction de
notre pays", a-t-il insisté, prônant "la paix et la réconciliation".
"En maints endroits, certains de nos compatriotes sont encore en train de
se battre, à Yopougon notamment (quartier pro-Gbagbo de l'ouest d'Abidjan),
pour refuser la loi des armes", a déclaré Pascal Affi N'Guessan, président du
Front populaire ivoirien (FPI), accompagné notamment de l'ex-ministre des
Affaires étrangères de M. Gbagbo, Alcide Djédjé.
"Nous devons arrêter l'escalade de la violence et de la déchéance", a-t-il
souligné au cours d'une déclaration dans un hôtel d'Abidjan, où ils ont trouvé
refuge avec d'autres personnalités de leur camp, protégés par les Forces
républicaines (FRCI) de M. Ouattara et celles de l'ONU.
M. Gbagbo a été arrêté lundi par les FRCI appuyées par la France et l'ONU à
l'issue d'une guerre de dix jours dans Abidjan.
"Au nom de la paix, arrêtons la guerre, mettons fin à toute forme de
belligérance et de confrontation", a poursuivi M. Affi, appelant aussi à
libérer les personnes arrêtées, dont M. Gbagbo, afin qu'il prenne "part à la
réconciliation nationale".
"Il faut donner une chance à la restauration et à la reconstruction de
notre pays", a-t-il insisté, prônant "la paix et la réconciliation".