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Politique Publié le mardi 17 mai 2011 | Le Patriote

Manœuvres de déstabilisation de la Côte d’Ivoire Ghana : Le silence coupable d`un pays frère !

Depuis la capture de l'ancien chef d'Etat ivoirien, la plupart des caciques de l'ancien régime qui ont pu échapper aux mailles des filets des Forces Républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI) se sont refugiés au Ghana, pays frère et frontalier à l'Est de la Côte d'Ivoire. Des rumeurs de plus en plus persistantes font état de ce que ces réfugiés aux mains trempées de sang d'innocents ivoiriens prépareraient un soulèvement en Côte d'Ivoire à partir du sol ghanéen. Ces refugiés de petit acabit se servent du territoire ghanéen pour lancer des appels à la haine et au soulèvement populaire sans que les hautes autorités de ce pays ne s'en émeuvent pour mettre fin à ce désordre. Pire, elles se taisent et observent sans réagir. A la limite, l'on se demanderait si les autorités politiques et militaires du pays du célèbre Kwamé Nkrumah ne seraient pas complices des agissements de ces réfugiés égarés, qui doivent répondre de leurs actes en Côte d'Ivoire. Tous les anciens compagnons de Laurent Gbagbo refugiés actuellement au Ghana ont joué un rôle très important dans la crise postélectorale au cours de laquelle plus de 3000 innocents ivoiriens ont trouvé la mort ou sont portés disparus. Sans compter les ressortissants de la sous-région et même de la France qui ont péri lors de cette banale guerre. Les Touré Moussa Zeguen, Colonel Konan Boniface ou autres ministres, militaires ou assimilés cachés au Ghana ont soit tué, soit fait tuer ou appelé au meurtre contre des populations civiles innocentes. Ils ne peuvent indéfiniment rester au Ghana et continuer de narguer les ivoiriens en se faisant passer pour des victimes alors que ce sont eux les bourreaux qui ont voulu conduire la Côte d'Ivoire dans le chaos total. A l'endroit des autorités du pays frère du Ghana, les Forces nouvelles estiment que ces individus doivent être extradés en Côte d'Ivoire pour qu'ils répondent de leurs actes, des crimes et délits commis avant de prendre la fuite quand ils ont senti l'épée de Damoclès sur leur tête. En tout état de cause, la justice ivoirienne devrait lancer un mandat d'arrêt international à l'encontre de tous ces criminels qui ont été complices, co-auteurs ou auteurs des massacres de milliers de personnes innocentes. Ils pourront continuer de rêver et s'imaginer en train de renverser le pouvoir du Président Alassane Dramane Ouattara. Mais ce rêve se transformera plutôt en pire cauchemar pour eux car tout individu ou quelle que nation que ce soit qui s'hasarderait dans cette voie suicidaire s'en mordra inéluctablement le doigt.
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