MALABO - Plus de 150 employés étrangers du groupe français Bouygues accusés d`être en possession de documents officiels
(autorisations d`entrée et cartes de séjour) falsifiés devaient quitter la Guinée équatoriale, a appris l`AFP de sources concordantes samedi.
"Ces étrangers ont (eu) 48H00 (à compter de mercredi) pour abandonner le pays parce qu`ils ont des documents officiels falsifiés (autorisations d`entrée sur le territoire, cartes de séjour)", a déclaré à l`AFP sous couvert de l`annonymat un commissaire de police à Malabo.
"Nous avons reçu un document provenant du commissariat contenant plus de 150 noms de personnes qui doivent abandonner le pays", a indiqué à l`AFP un responsable de Bouygues à Malabo qui a refusé de donner son nom.
Selon lui "des gens" de la société chargée de recruter le personnel pour Bouygues auraient fait "des faux documents au personnel de Bouygues", a-t-il dit, expliquant que "cette décision est dure pour la société. L`absence de ces personnes expulsées va paralyser les travaux de Bouygues surtout le stade de Bata où va se jouer la Coupe d`Afrique des nations 2012 (CAN-2012)".
Un employé de Bouygues à Bata (ville située sur la partie continentale de la Guinée équatoriale) a affirmé sous couvert de l`anonymat que parmi les étrangers se trouvaient des Camerounais, Gabonais et Ivoiriens.
Bouygues a récemment construit un hôtel 5 étoiles à Sipopo, une ville nouvelle paradisiaque ayant accueilli le sommet des chefs d`Etat de l`Union africaine fin juin.
L`entreprise française participe également à la construction de la ville industrielle d`Oyala au centre du pays, près de la ville natale du président Teodoro Obiang Nguema.
(autorisations d`entrée et cartes de séjour) falsifiés devaient quitter la Guinée équatoriale, a appris l`AFP de sources concordantes samedi.
"Ces étrangers ont (eu) 48H00 (à compter de mercredi) pour abandonner le pays parce qu`ils ont des documents officiels falsifiés (autorisations d`entrée sur le territoire, cartes de séjour)", a déclaré à l`AFP sous couvert de l`annonymat un commissaire de police à Malabo.
"Nous avons reçu un document provenant du commissariat contenant plus de 150 noms de personnes qui doivent abandonner le pays", a indiqué à l`AFP un responsable de Bouygues à Malabo qui a refusé de donner son nom.
Selon lui "des gens" de la société chargée de recruter le personnel pour Bouygues auraient fait "des faux documents au personnel de Bouygues", a-t-il dit, expliquant que "cette décision est dure pour la société. L`absence de ces personnes expulsées va paralyser les travaux de Bouygues surtout le stade de Bata où va se jouer la Coupe d`Afrique des nations 2012 (CAN-2012)".
Un employé de Bouygues à Bata (ville située sur la partie continentale de la Guinée équatoriale) a affirmé sous couvert de l`anonymat que parmi les étrangers se trouvaient des Camerounais, Gabonais et Ivoiriens.
Bouygues a récemment construit un hôtel 5 étoiles à Sipopo, une ville nouvelle paradisiaque ayant accueilli le sommet des chefs d`Etat de l`Union africaine fin juin.
L`entreprise française participe également à la construction de la ville industrielle d`Oyala au centre du pays, près de la ville natale du président Teodoro Obiang Nguema.