Du 18 au 19 août dernier, le ministre de la Communication, Diakité Souleymane Coty a séjourné à Bouaké avec une forte délégation de la RTI. Objectif de cette visite : vérifier les antennes régionales de la Rti installées dans cette ville. Au terme donc de cette visite de travail, le ministre a animé une conférence de presse au Ran hôtel de Bouaké.
Le ministre de la Communication a dit avoir fait un difficile constat des installations des antennes régionales de la Rti à Bouaké. Pour lui, « tout est laissé à l’abandon ». Pour une reprise rapide et effective des émissions radios télé dans cette zone, M. Souleymane Coty a fait savoir que, dès son retour à Abidjan, une équipe du BNETD et de la Rti sera « dépêchée pour faire une évaluation et entamer les travaux de réhabilitation. La priorité du ministère de la Communication est de développer les stations régionales », a-t-il indiqué. Et d’ajouter que « la Rti doit être une référence pour nous ». Quant au sort réservé aux agents de la Télévision Notre Patrie (TVNP), une chaîne locale créée pour tenir les populations de Bouaké et environs en haleine et de à ceux de TCI, le ministre a dit : « lorsque nous ferons la libéralisation de l’audiovisuel nous allons voir qu’est-ce qu’on peut faire pour eux. Pour TVNP, je viens de recevoir les documents. Nous allons les examiner et nous trouverons une solution». Il a appelé les promoteurs de ces radios et télé à se faire enregistrer auprès de la HACA. «Il faut rentrer dans la légalité», a-t-il conseillé. Faisant un retour rétrospectif sur le rôle joué par les journalistes au cours de la crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, le ministre de la Communication a pointé un doigt accusateur sur les responsables des différents organes qui ne paient pas leurs employés. «Si la crise a perduré, il faut qu’on le dise, c’est parce que les journalistes ne sont pas bien payés. Il faut que cela s’arrête». Toutefois, le ministre Coty a révélé qu’il y aura un fonds qui sera octroyé à la presse pour son développement.
Rappelons que la passation de charges entre l’ancien directeur régional de la radiodiffusion M. Goré Bi Tah et le tout nouveau, M. Djanhoué Prospère s’est déroulée le samedi 20 au Ran hôtel, sous les auspices du directeur général Aka Sayé Lazare.
Bosco de Paré
Le ministre de la Communication a dit avoir fait un difficile constat des installations des antennes régionales de la Rti à Bouaké. Pour lui, « tout est laissé à l’abandon ». Pour une reprise rapide et effective des émissions radios télé dans cette zone, M. Souleymane Coty a fait savoir que, dès son retour à Abidjan, une équipe du BNETD et de la Rti sera « dépêchée pour faire une évaluation et entamer les travaux de réhabilitation. La priorité du ministère de la Communication est de développer les stations régionales », a-t-il indiqué. Et d’ajouter que « la Rti doit être une référence pour nous ». Quant au sort réservé aux agents de la Télévision Notre Patrie (TVNP), une chaîne locale créée pour tenir les populations de Bouaké et environs en haleine et de à ceux de TCI, le ministre a dit : « lorsque nous ferons la libéralisation de l’audiovisuel nous allons voir qu’est-ce qu’on peut faire pour eux. Pour TVNP, je viens de recevoir les documents. Nous allons les examiner et nous trouverons une solution». Il a appelé les promoteurs de ces radios et télé à se faire enregistrer auprès de la HACA. «Il faut rentrer dans la légalité», a-t-il conseillé. Faisant un retour rétrospectif sur le rôle joué par les journalistes au cours de la crise qu’a connue la Côte d’Ivoire, le ministre de la Communication a pointé un doigt accusateur sur les responsables des différents organes qui ne paient pas leurs employés. «Si la crise a perduré, il faut qu’on le dise, c’est parce que les journalistes ne sont pas bien payés. Il faut que cela s’arrête». Toutefois, le ministre Coty a révélé qu’il y aura un fonds qui sera octroyé à la presse pour son développement.
Rappelons que la passation de charges entre l’ancien directeur régional de la radiodiffusion M. Goré Bi Tah et le tout nouveau, M. Djanhoué Prospère s’est déroulée le samedi 20 au Ran hôtel, sous les auspices du directeur général Aka Sayé Lazare.
Bosco de Paré
