Le groupe ARMAJARO précurseur des programmes de certification et de qualité dans le monde et particulièrement en CI, grâce à la stratégie gagnante de son Responsable Afrique Loic Follorroux appuyé par une équipe locale performante, a entamé début Août, une tournée de remise de primes aux planteurs et coopératives pour un montant de plus d’1,950 Millions. Ces remises de prime ont débuté par la localité de Divo où une cérémonie a eu pour cadre un complexe hôtelier. 3 coopératives sur les 40, ont reçu leurs primes pour le cacao certifié livré. Il s’agit de la coopérative CABODI, la coopérative CADI et celle de CAPG.
ARMAJARO Côte d’Ivoire spécialisé dans l’exportation du cacao, fait de la qualité, la traçabilité et la certification du cacao sa priorité.
Ainsi, dans le souci d’offrir toutes les armes aux planteurs Ivoiriens pour relever le défi de la compétitivité sur le marché international, cette structure a organisé au cours de la campagne 2010-2011, une formation à l’endroit d’une quarantaine de coopératives. A la fin de la campagne, ARMAJARO a récompensé les planteurs et coopératives formés à la certification Rain ForestAlliance Ces bons « élèves » ont reçu de cette organisation une prime évaluée à plus de 194 Millions Francs CFA. Les différents responsables de ces coopératives ont reçu leur prix des mains de Koné Ismaël, Directeur général d’ARMAJARO Côte d’Ivoire. C’est par centaine que les différents acteurs des coopératives lauréates ont pris d’assaut la salle de conférence de l’Hôtel « Amayowé » de Divo. Remettant les prix à ces coopératives, Koné Ismaël, directeur général ARMAJARO CI a tenu à en préciser le sens. Ainsi, il a révélé que la cérémonie de remise de prime 2010-2011 du programme de certification Rainforests Alliance consiste à encourager les coopératives, mais surtout, les planteurs à persévérer dans leurs efforts quotidiens pour produire du cacao certifié de qualité. «
(…) Pour sa part, ARMAJARO prend l’engagement de rester attentives aux besoins des planteurs et coopératives dans leur quête permanentes de fournir un produit certifié et de qualité » a déclaré Ismaël Koné.
Partant de cela, ajoute t-il, les objectifs du programme ne sont rien d’autre que l’amélioration du niveau de vie des planteurs par la vente d’un cacao de qualité, à travers un soutien en formation et la fourniture en équipement, pour, dit-il améliorer la qualité, le rendement des plantations afin d’augmenter les revenus des planteurs au-delà de la prime de certification en leur permettant de produire plus de cacao. Selon le DG de ARMAJARO Côte d’Ivoire, le programme ASCC (Armajaro sustainable certified cocoa) initié par sa structure connait un réel engouement auprès des planteurs et des partenaires tels que l’ANADER (Agence Nationale d’Appui au Développement Rural) et l’ONG Rainforests. Il en veut pour preuve, l’augmentation du nombre des coopératives lors de la seconde année (campagne 2010-2011). « (…) Le nombre de coopératives inscrits dans le projet ASCC est passé de 26 à 40 coopératives atteignant 25.000 planteurs formés à la certification. Cette production est passée de 13.500 tonnes en 2009/2010 à 19.500 tonnes en 2010-2011, soit une augmentation de plus de 40% », a t-il révélé. Très confiant de son programme Ismaël Koné a annoncé qu’a l’avenir, ARMAJARO ajoutera d’autres cordes à son arc, à savoir des investissements auprès des communautés rurales dans des programmes sociaux (santé, éducation, l’accès à l’eau potable et la lutte contre les pires formes de travail des enfants).
L’administrateur général de la région du Nawa, le préfet Joseph Pkan Doh à quant à lui encouragé les coopératives bénéficiaires et les a exhorté à en faire davantage. « (…) Si j’avais su très tôt le contenu de la cérémonie, j’allais inviter les autres coopératives afin qu’elles vous prennent en exemple » a-t-il regretté, avant d’ajouter que la Côte d’Ivoire n’a plus besoin de la quantité mais de la qualité. Poursuivant sur sa lancée, Il a soutenu qu’il ne sert à rien pour le pays d’être premier producteur mondial de cacao et dernier dans le revenu. En outre, le préfet a fustigé les coopératives fantômes. « (…) Notre région compte plus de 200 à 300 coopératives, mais celles qui sont actives n’atteignent pas 100» a t- il regretté tout en autorisant l’administrateur de la direction régionale de l’agriculture à veiller sur la tenue effective des Assemblées Générales des coopératives. « (…) Toutes celles qui ne le feront pas, n’achèteront pas le cacao durant cette campagne » a-t-il menacé. Après cette cérémonie riche en couleurs, une visite guidée de la plantation d’un des membres de la coopérative CADI a permis à l’assistance d’apprécier la valeur ajoutée des consignes de ARMAJARO.
Service Communication
ARMAJARO Côte d’Ivoire spécialisé dans l’exportation du cacao, fait de la qualité, la traçabilité et la certification du cacao sa priorité.
Ainsi, dans le souci d’offrir toutes les armes aux planteurs Ivoiriens pour relever le défi de la compétitivité sur le marché international, cette structure a organisé au cours de la campagne 2010-2011, une formation à l’endroit d’une quarantaine de coopératives. A la fin de la campagne, ARMAJARO a récompensé les planteurs et coopératives formés à la certification Rain ForestAlliance Ces bons « élèves » ont reçu de cette organisation une prime évaluée à plus de 194 Millions Francs CFA. Les différents responsables de ces coopératives ont reçu leur prix des mains de Koné Ismaël, Directeur général d’ARMAJARO Côte d’Ivoire. C’est par centaine que les différents acteurs des coopératives lauréates ont pris d’assaut la salle de conférence de l’Hôtel « Amayowé » de Divo. Remettant les prix à ces coopératives, Koné Ismaël, directeur général ARMAJARO CI a tenu à en préciser le sens. Ainsi, il a révélé que la cérémonie de remise de prime 2010-2011 du programme de certification Rainforests Alliance consiste à encourager les coopératives, mais surtout, les planteurs à persévérer dans leurs efforts quotidiens pour produire du cacao certifié de qualité. «
(…) Pour sa part, ARMAJARO prend l’engagement de rester attentives aux besoins des planteurs et coopératives dans leur quête permanentes de fournir un produit certifié et de qualité » a déclaré Ismaël Koné.
Partant de cela, ajoute t-il, les objectifs du programme ne sont rien d’autre que l’amélioration du niveau de vie des planteurs par la vente d’un cacao de qualité, à travers un soutien en formation et la fourniture en équipement, pour, dit-il améliorer la qualité, le rendement des plantations afin d’augmenter les revenus des planteurs au-delà de la prime de certification en leur permettant de produire plus de cacao. Selon le DG de ARMAJARO Côte d’Ivoire, le programme ASCC (Armajaro sustainable certified cocoa) initié par sa structure connait un réel engouement auprès des planteurs et des partenaires tels que l’ANADER (Agence Nationale d’Appui au Développement Rural) et l’ONG Rainforests. Il en veut pour preuve, l’augmentation du nombre des coopératives lors de la seconde année (campagne 2010-2011). « (…) Le nombre de coopératives inscrits dans le projet ASCC est passé de 26 à 40 coopératives atteignant 25.000 planteurs formés à la certification. Cette production est passée de 13.500 tonnes en 2009/2010 à 19.500 tonnes en 2010-2011, soit une augmentation de plus de 40% », a t-il révélé. Très confiant de son programme Ismaël Koné a annoncé qu’a l’avenir, ARMAJARO ajoutera d’autres cordes à son arc, à savoir des investissements auprès des communautés rurales dans des programmes sociaux (santé, éducation, l’accès à l’eau potable et la lutte contre les pires formes de travail des enfants).
L’administrateur général de la région du Nawa, le préfet Joseph Pkan Doh à quant à lui encouragé les coopératives bénéficiaires et les a exhorté à en faire davantage. « (…) Si j’avais su très tôt le contenu de la cérémonie, j’allais inviter les autres coopératives afin qu’elles vous prennent en exemple » a-t-il regretté, avant d’ajouter que la Côte d’Ivoire n’a plus besoin de la quantité mais de la qualité. Poursuivant sur sa lancée, Il a soutenu qu’il ne sert à rien pour le pays d’être premier producteur mondial de cacao et dernier dans le revenu. En outre, le préfet a fustigé les coopératives fantômes. « (…) Notre région compte plus de 200 à 300 coopératives, mais celles qui sont actives n’atteignent pas 100» a t- il regretté tout en autorisant l’administrateur de la direction régionale de l’agriculture à veiller sur la tenue effective des Assemblées Générales des coopératives. « (…) Toutes celles qui ne le feront pas, n’achèteront pas le cacao durant cette campagne » a-t-il menacé. Après cette cérémonie riche en couleurs, une visite guidée de la plantation d’un des membres de la coopérative CADI a permis à l’assistance d’apprécier la valeur ajoutée des consignes de ARMAJARO.
Service Communication
