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Politique Publié le samedi 24 septembre 2011 | Le Patriote

Hamed Bakayoko sur RFI: “Que le FPI ne nous demande pas l ‘impossible”

© Le Patriote Par Prisca
Sécurité: les ministres Hamed Bakayoko et Paul Koffi Koffi s`attellent à la remise des commissariats aux policiers et à la sécurisation du District d`Abidjan
Jeudi 18 aout 2011. Abidjan. Commissariat de police du 6ème arrondissement, zone 3, Marcory. Le ministre d`Etat, ministre de l`Intérieur, Hamed Bakayoko et son homologue de la Défense, Paul Koffi Koffi assistent à la remise des Commissariats de police et de brigades de gendarmeries d`Abidjan Sud, avant de participer à une réunion sur la sécurisation de la ville d`Abidjan, au ministère de la Défense
Le ministre de l’Etat, ministre de l’Intérieur, Hamed Bakayoko a apporté la réplique au président par intérim du FPI sur la radio mondiale
RFI: Le FPI parle du refus d’un dialogue républicain pour parler de sécurité, de redécoupage des circonscriptions électorales et la réconciliation et de la composition de la CEI. Que pensez-vous de cette proposition du FPI ?
Hamed Bakayoko: Les arguments du FPI sont infondés. La CEI est organisée par des accords. C’est la CEI qui a organisé la présidentielle et c’est elle qui s’apprête à organiser les législatives. On nous sort aujourd’hui que cette commission, qui a déjà organisé la présidentielle pose problème. Le plus important pour nous, c’est que la composition actuelle de la CEI est conforme aux Accords de Pretoria qui parlent de la composition de la CEI et qui lui donne mandat pour organiser les élections générales en Côte d’Ivoire.

RFI: Si par exemple le FPI venait à boycotter les législatives, cela ne serait-il pas un coup porté à la réconciliation?
HB: Nous ne souhaitons pas que le FPI ne participe pas à cette élection. Nous ferons tout pour qu’il participe. Nous sommes en contact. Mais qu’il ne nous demande pas l’impossible.
TL


Yamoussoukro/ Prise de commandement à la Garde républicaine / Le Lt Sidibé Samba aux militaires :
“C’est au prix de la discipline que nous donnerons un nouveau visage à l’armée”
« Ce n’est pas parce que les choses son difficiles que nous n’osons pas. C’est parce que nous n’osons pas qu’elles sont difficiles. » C’est le terme choisi et emprunté au philosophe Lucius Sénéqué, que le nouveau commandant du groupement II de la Garde républicaine de Yamoussoukro. Le capitaine Sidibé Samba s’est adressé non seulement au public, mais surtout aux militaires hier , lors de sa prise de commandement en présence du chef de corps de la Garde républicaine, le Lt colonel Kouao Amichia Edouard. Le nouveau commandement prône l’avènement d’un nouveau type de militaire pétri de valeurs morales et professionnelles pour une nouvelle Garde républicaine, exigé par le chef suprême des armées et par la hiérarchie directe. La réalisation de cet objectif selon le tout nouveau commandant du groupement II de la GR de la capitale politique ivoirienne, le capitaine Sidibé Samba, passe obligatoirement par la discipline, force principale des armées, la loyauté, la dignité, la rigueur et l’obligation de réserve. C’est à ce prix, dira-t-il, que les militaires pourront relever la tête et donner un nouveau visage à l’Armée ivoirienne. Des soldats dont rêve la population, des soldats de Dieu et pour Dieu. Sur le champ, le capitaine Sidibé Samba, Cdt du groupement II a ordonné à tous, de se mettre immédiatement au travail car la flamme de la GR de Yamoussoukro ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra jamais. Selon lui, « la restructuration du groupement II est un défi à relever ».
Au Lt colonel Kouao Amichia Edouard, il a promis qu’avec des moyens, la Garde républicaine de Yamoussoukro sera repositionnée à la place qui fut la sienne. A savoir, « assurer la protection et la sécurité du président de la République des hautes autorités de l’Etat, des édifices nationaux et rassurer la population ».
Notons que le capitaine qui a pris fonction hier, n’est pas un inconnu du milieu de l’armée. Il fut le premier parachutiste, chuteur opérationnel après ETAP Pau France dans l’armée ivoirienne. Il est né le 21 décembre 1961 à Grand-Bassam, et, est marié père de quatre (enfants. Après avoir assuré de hautes responsabilités dont chef de groupe infanterie (EFA), commandant de compagnie depuis 2002, il est nommé commandant du groupement II de la Garde républicaine de Yamoussoukro depuis le 22 septembre 2011.
Jacquelin Mintoh
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