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Politique Publié le lundi 10 octobre 2011 | L’intelligent d’Abidjan

Législatives 2011 à Abobo / Karamoko Yayoro (RDR) : ‘’ Ma candidature sera retenue…’’

Le président du RJR (Rassemblement des jeunes Républicains) est candidat à la candidature aux futures législatives, dans la commune d’Abobo. Karamoko Yayoro est déjà sur le terrain pour demander le soutien des populations de cette cité. Il était, le samedi 8 octobre 2011, dans trois quartiers de cette commune. A Anonkoua Kouté, Karamoko Yayaro est allé soutenir la fondation Sésame (ONG qui intervient dans le social, le sport,…) dans le cadre d’une opération de nettoyage des grandes artères dudit village. Après cette étape, il a mis le cap sur le quartier d’Abobo-Anador. En ces lieux, le candidat à la candidature aux futures législatives est allé échanger avec la coordination du RDR (Rassemblement des Républicains) du Worodougou. « Je suis candidat aux élections législatives et je suis venu rechercher votre appui. Ma candidature sera retenue au niveau du parti grâce à votre bénédiction, et avec votre soutien nous aurons la victoire aux futures législatives. Je vous demande également de promouvoir la paix et la réconciliation », a-t-il déclaré. Après cette rencontre, Karamoko Yayoro s’est rendu au marché Gouro d’Abobo-Kennedy pour s’entretenir avec les acteurs de cet espace. Le discours était le même. Appel à la paix, à la réconciliation nationale et sollicitation du soutien des populations afin qu’il les représente au prochain parlement. Dans ces différents endroits, les hôtes du président du RJR ont répondu favorablement à sa requête. Non sans se soucier d’une véritable maîtrise des préoccupations des populations d’Abobo par Karamoko Yayoro. Sur cette question, le président du RJR a fait savoir, qu’il a vécu à Abobo et qu’il a toujours une maison à Abobo-Belle ville, même si pour l’heure, a-t-il précisé, il n’y habite pas. «Des personnes peuvent résider à Abobo sans connaître les problèmes des populations si tous les matins, à 6 heures, il quitte la commune pour retourner à 22 heures. Contrairement à celui qui n’habite pas la cité et qui y est très régulier», a-t-il soutenu.
R.Dibi
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