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Économie Publié le lundi 31 octobre 2011 | La Tribune de l’Economie

Crise de la dette aux USA, L’AGOA va-t-il profiter à la Côte d’Ivoire ?

L’éligibilité de la Côte d’Ivoire à l’African Growth and opportunity act (AGOA) est un véritable coup que vient de réussir les nouvelles autorités ivoiriennes. Même si toutes les conditions de cette éligibilité étaient déjà réunies avec la tenue de l’élection présidentielle. Cette éligibilité traduit ainsi deux symboles à savoir le retour de la Côte d’Ivoire dans le concert des nations, mais également les signaux d’une perspective économique prometteuse en 2012, quand on sait que l’économie ivoirienne vit essentiellement des exportations des produits agricoles. Selon les chiffres qu’offrent la participation de la Côte d’Ivoire à ce programme en 2002, l’AGOA a permis de mobiliser près de 25 à 30 milliards de francs CFA. 6 ans après son retrait de ce programme, bien que satisfaits, pouvons-nous de facto établir des projections positives en terme de rentabilité de cette éligibilité ? Loin de nous, la volonté de jouer les oiseaux de mauvais augure, mais les réalités économiques des Etats-Unis en 2002, et celles de 2011 sont diamétralement opposées. Le marché américain plus que jamais lessivé par la crise financière de 2008 et la crise des dettes souveraines de 2011, reste très fragile. La crise de 2008 aux Etats-Unis, selon des analystes qui est 400 fois plus grande que celle de 1929, a occasionné d’énormes conséquences sur l’économie américaine.
Les conséquences de la crise de 2008
Depuis le début de l’année 2008 l’économie américaine a perdu 2,5 millions d’emplois et il est possible, avertissait le Président Obama , d’en perdre encore plusieurs millions les années à venir. Les Banques, les sociétés d’assurance, l’industrie automobile qui est la colonne vertébrale de l’économie américaine, ainsi que ses fournisseurs, ont demandé l’aide de l’Etat. "Aujourd’hui, les banques d’investissement, la fierté de Wall Street, ont pratiquement cessé d’exister " avait déclaré en son temps, Vladimir Poutine, premier ministre Russe. Plus grave, la crise des dettes souveraines aux USA qui atteignaient plus de 14.500 milliards de dollars, a conduit l’agence d’évaluation financière....

LIRE LA SUITE DANS LA TRIBUNE DE L'ECONOMIE LUNDI 31 OCTOBRE 2011
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