L’ONG "Anouanzè" (Entente, en langue locale) a organisé, dimanche, une rencontre d’information et d’échange à l’intention de la jeunesse de Daloa, afin de l’éclairer sur le processus de réconciliation nationale et son insertion.
"La réconciliation et la paix, facteurs de développement" et "Jeunesse et emploi" sont les deux thèmes développés respectivement par Mme Coulibaly Fatoumata, responsable du Bureau de l’information publique de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) à Daloa et M. Fofana Amaral, consultant en management.
A la suite de Mme Coulibaly Fatoumata qui a exhorté l’auditoire à s’inscrire résolument dans la paix sans laquelle on ne peut parler de développement ni de bien-être social, le second orateur, M. Fofana Amaral, a abordé la question de l’emploi et de l’insertion des jeunes.
Dans un langage franc et direct, M. Fofana a demandé aux jeunes de se réveiller et d’avoir de la détermination dans leur quête de travail au lieu d’attendre que le boulot vienne les trouver.
Pour lui, le jeune qui veut vraiment travailler, devrait avoir une claire idée de ce qu’il entend faire.
C’est pourquoi, il a encouragé les jeunes à bouger, à chercher l’information, à se former par rapport aux projets qu’ils ont, s’ils ambitionnent réussir.
Pour le financement des projets, il a souhaité que les jeunes s’orientent vers les structures d’appui comme le FNS (fonds national de solidarité), structure créée par l’Etat pour aider à la création d’emplois, pourtant méconnue de la plupart des jeunes, a ajouté M. Fofana.
Il a aussi insisté sur la nécessité, pour la jeunesse d’apprendre, de pêcher plutôt que de chercher la facilité ou les raccourcis qui ne peuvent garantir le futur.
L’ONG Anouanzè qui a initié la rencontre s’est donné pour but de lutter contre la pauvreté et le VIH/Sida. Créée le 1er mai 2009, elle est présidée par Mlle Kouassi Chantal.
(AIP)
YY/kp
"La réconciliation et la paix, facteurs de développement" et "Jeunesse et emploi" sont les deux thèmes développés respectivement par Mme Coulibaly Fatoumata, responsable du Bureau de l’information publique de l’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) à Daloa et M. Fofana Amaral, consultant en management.
A la suite de Mme Coulibaly Fatoumata qui a exhorté l’auditoire à s’inscrire résolument dans la paix sans laquelle on ne peut parler de développement ni de bien-être social, le second orateur, M. Fofana Amaral, a abordé la question de l’emploi et de l’insertion des jeunes.
Dans un langage franc et direct, M. Fofana a demandé aux jeunes de se réveiller et d’avoir de la détermination dans leur quête de travail au lieu d’attendre que le boulot vienne les trouver.
Pour lui, le jeune qui veut vraiment travailler, devrait avoir une claire idée de ce qu’il entend faire.
C’est pourquoi, il a encouragé les jeunes à bouger, à chercher l’information, à se former par rapport aux projets qu’ils ont, s’ils ambitionnent réussir.
Pour le financement des projets, il a souhaité que les jeunes s’orientent vers les structures d’appui comme le FNS (fonds national de solidarité), structure créée par l’Etat pour aider à la création d’emplois, pourtant méconnue de la plupart des jeunes, a ajouté M. Fofana.
Il a aussi insisté sur la nécessité, pour la jeunesse d’apprendre, de pêcher plutôt que de chercher la facilité ou les raccourcis qui ne peuvent garantir le futur.
L’ONG Anouanzè qui a initié la rencontre s’est donné pour but de lutter contre la pauvreté et le VIH/Sida. Créée le 1er mai 2009, elle est présidée par Mlle Kouassi Chantal.
(AIP)
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