Des experts nationaux dans le domaine des ressources forestières ont plaidé vendredi pour une gestion durable de la forêt ivoirienne.
A l`issue d`une rencontre de réflexion et de sensibilisation à Bouaké (centre, 350 kms d`Abidjan), les experts venus de différentes régions du pays ont proposé une exploitation forestière contrôlée, et des actions favorisant l`utilisation de sources d`énergie autre que le bois.
Ceux-ci ont par ailleurs demandé aux opérateurs du secteur privé de respecter la réglementation en vigueur en matière d`exploitation forestière, dans le but de permettre une gestion rationnelle des ressources.
"Il s`agit d`amener les acteurs de la filière forestière à exploiter le bois de façon rationnelle et dans la légalité", a indiqué à la presse le directeur général des eaux et forêts, René Kadja Nzoré.
Le responsable des eaux et forêts a regretté la poursuite de l`exploitation illégale et excessive des ressources forestières du pays.
"Il faut que les exploitants du secteur sachent que l`on ne peut pas couper le bois n`importe comment", a martelé M. Nzoré, se disant toutefois favorable à une phase de sensibilisation intensive des contrevenants, avant d`amorcer la répression.
L`exploitation forestière clandestine et illégale constitue une préoccupation pour le gouvernement ivoirien.
Selon des sources proches du ministère ivoirien des Eaux et forêts, cette pratique cause à l`Etat ivoirien une perte de plus de cinq milliards de francs CFA (environ 8 millions d`euros) chaque année.
A l`issue d`une rencontre de réflexion et de sensibilisation à Bouaké (centre, 350 kms d`Abidjan), les experts venus de différentes régions du pays ont proposé une exploitation forestière contrôlée, et des actions favorisant l`utilisation de sources d`énergie autre que le bois.
Ceux-ci ont par ailleurs demandé aux opérateurs du secteur privé de respecter la réglementation en vigueur en matière d`exploitation forestière, dans le but de permettre une gestion rationnelle des ressources.
"Il s`agit d`amener les acteurs de la filière forestière à exploiter le bois de façon rationnelle et dans la légalité", a indiqué à la presse le directeur général des eaux et forêts, René Kadja Nzoré.
Le responsable des eaux et forêts a regretté la poursuite de l`exploitation illégale et excessive des ressources forestières du pays.
"Il faut que les exploitants du secteur sachent que l`on ne peut pas couper le bois n`importe comment", a martelé M. Nzoré, se disant toutefois favorable à une phase de sensibilisation intensive des contrevenants, avant d`amorcer la répression.
L`exploitation forestière clandestine et illégale constitue une préoccupation pour le gouvernement ivoirien.
Selon des sources proches du ministère ivoirien des Eaux et forêts, cette pratique cause à l`Etat ivoirien une perte de plus de cinq milliards de francs CFA (environ 8 millions d`euros) chaque année.