Le gouvernement américain, à travers le Pepfar, continuera de faire des investissements judicieux en Côte d`Ivoire, en vue de permettre de sauver plus de personnes, à travers des programmes de traitement et de prévention adéquats, malgré la conjoncture économique difficile, rassure son ambassadeur, à Abidjan, Phillip Carter III.
Mardi, lors d`une conférence de presse, M. Carter III a indiqué que son gouvernement entend montrer les efforts qu`il consacre en appui au gouvernement ivoirien, au travers du plan d’urgence du Président pour la lutte contre le Vih/Sida(Pepfar), et soutient que son pays dispose des capacités nécessaires à cet effet.
"Nous avons la science, la recherche et les hommes, comme feuille de route, et nous voudrions, à travers le Pepfar mettre ensemble nos efforts pour atteindre l`objectif d`une génération sans Sida", a-t-il proclamé, réaffirmant que "son pays demeure résolu à jouer le rôle de leadership dans la riposte mondiale au Sida". D`après des études épidémiologiques, 34 millions de personnes dans le monde vivent actuellement avec le Vih/Sida.
Le diplomate américain a souligné que relever le défi de cette maladie nécessite une mobilisation et un engagement de toutes les parties, y compris des Gouvernements des pays affectés, les donateurs, la société civile, les organisations confessionnelles ainsi que le secteur privé, et réitère la détermination de son gouvernement à continuer de fournir les prestations afférentes à la pandémie.
"Le Pepfar a permis de fournir les services et les antiviraux disponibles sur toute l’étendue du territoire national ivoirien et cela, à travers des partenaires de mise en œuvre et la pharmacie de la santé publique", a reconnu, pour sa part, le représentant du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Vih/Sida, le Pr. Brou Emmanuel, Inspecteur Général de la Santé.
Le Pepfar, plan d’urgence du Président américain pour la lutte contre le Vih/Sida serait le plus grand programme d’investissement des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, avec près de 120 millions de dollars engagés, chaque année,aux fins de renforcer la capacité des institutions ivoiriennes, le traitement et la prise en charge des personne vivant avec la Vih, et la prévention de nouvelles infections.
(aip)
kn//ngf
Mardi, lors d`une conférence de presse, M. Carter III a indiqué que son gouvernement entend montrer les efforts qu`il consacre en appui au gouvernement ivoirien, au travers du plan d’urgence du Président pour la lutte contre le Vih/Sida(Pepfar), et soutient que son pays dispose des capacités nécessaires à cet effet.
"Nous avons la science, la recherche et les hommes, comme feuille de route, et nous voudrions, à travers le Pepfar mettre ensemble nos efforts pour atteindre l`objectif d`une génération sans Sida", a-t-il proclamé, réaffirmant que "son pays demeure résolu à jouer le rôle de leadership dans la riposte mondiale au Sida". D`après des études épidémiologiques, 34 millions de personnes dans le monde vivent actuellement avec le Vih/Sida.
Le diplomate américain a souligné que relever le défi de cette maladie nécessite une mobilisation et un engagement de toutes les parties, y compris des Gouvernements des pays affectés, les donateurs, la société civile, les organisations confessionnelles ainsi que le secteur privé, et réitère la détermination de son gouvernement à continuer de fournir les prestations afférentes à la pandémie.
"Le Pepfar a permis de fournir les services et les antiviraux disponibles sur toute l’étendue du territoire national ivoirien et cela, à travers des partenaires de mise en œuvre et la pharmacie de la santé publique", a reconnu, pour sa part, le représentant du ministère de la Santé et de la Lutte contre le Vih/Sida, le Pr. Brou Emmanuel, Inspecteur Général de la Santé.
Le Pepfar, plan d’urgence du Président américain pour la lutte contre le Vih/Sida serait le plus grand programme d’investissement des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, avec près de 120 millions de dollars engagés, chaque année,aux fins de renforcer la capacité des institutions ivoiriennes, le traitement et la prise en charge des personne vivant avec la Vih, et la prévention de nouvelles infections.
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