Georges Guiai Bi Poin sera libéré aujourd’hui. Il a été entendu, hier, pour la troisième fois par la doyenne des juges d'instruction, Cissé Makouéni.
Le général de division Georges Guiai Bi Poin recouvre la liberté aujourd’hui. Il a été entendu, hier, à Abidjan, par le juge d’instruction, Cissé Makouéni. L’ex-homme fort de l’Ecole de gendarmerie d’Abidjan avait introduit auprès du cabinet de la doyenne des juges d’instruction une demande de mise en liberté provisoire. Cette requête lui a été accordée après une audience de 30 minutes entre ses avocats et la juge du tribunal d’Abidjan. Cependant, selon une source judiciaire, l’ancien patron du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos) est en liberté provisoire mais reste toujours à la disposition de la justice. En détention préventive à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), l’officier général était poursuivi pour vol aggravé, détournement de deniers publics, pillages, atteinte à l’économie nationale et attaque à main armée. Pour l’audition d’hier, l’ancien patron du défunt Cecos est arrivé à 9 heures, à bord d’un mini-car de la gendarmerie. Il a été conduit directement dans les cellules du parquet avant d’être entendu. Il faut souligner que Guiai Bi Poin a été arrêté le 20 août dernier, à l’Ecole nationale de gendarmerie, suite à une convocation du colonel-major Vako Bamba, commandant en second de la gendarmerie nationale. Il a été mis aux arrêts dans le cadre de l’enquête sur la découverte de fosses communes, de tombes et d’un charnier dans les sous-bois de l’école de gendarmerie. C’est en présence du procureur de la République, Simplice Koffi Kouadio que Guiai Bi Poin a été conduit au camp commando de Koumassi. Le 25 août 2011, dans la matinée, le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Kouassi Gervais, accompagné de plusieurs autorités de la gendarmerie, se sont rendus à la Maca pour donner des consignes strictes aux gendarmes détachés pour la sécurité de l’officier général.
Bahi K.
Le général de division Georges Guiai Bi Poin recouvre la liberté aujourd’hui. Il a été entendu, hier, à Abidjan, par le juge d’instruction, Cissé Makouéni. L’ex-homme fort de l’Ecole de gendarmerie d’Abidjan avait introduit auprès du cabinet de la doyenne des juges d’instruction une demande de mise en liberté provisoire. Cette requête lui a été accordée après une audience de 30 minutes entre ses avocats et la juge du tribunal d’Abidjan. Cependant, selon une source judiciaire, l’ancien patron du Centre de commandement des opérations de sécurité (Cecos) est en liberté provisoire mais reste toujours à la disposition de la justice. En détention préventive à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), l’officier général était poursuivi pour vol aggravé, détournement de deniers publics, pillages, atteinte à l’économie nationale et attaque à main armée. Pour l’audition d’hier, l’ancien patron du défunt Cecos est arrivé à 9 heures, à bord d’un mini-car de la gendarmerie. Il a été conduit directement dans les cellules du parquet avant d’être entendu. Il faut souligner que Guiai Bi Poin a été arrêté le 20 août dernier, à l’Ecole nationale de gendarmerie, suite à une convocation du colonel-major Vako Bamba, commandant en second de la gendarmerie nationale. Il a été mis aux arrêts dans le cadre de l’enquête sur la découverte de fosses communes, de tombes et d’un charnier dans les sous-bois de l’école de gendarmerie. C’est en présence du procureur de la République, Simplice Koffi Kouadio que Guiai Bi Poin a été conduit au camp commando de Koumassi. Le 25 août 2011, dans la matinée, le commandant supérieur de la gendarmerie, le général Kouassi Gervais, accompagné de plusieurs autorités de la gendarmerie, se sont rendus à la Maca pour donner des consignes strictes aux gendarmes détachés pour la sécurité de l’officier général.
Bahi K.