Le 40ème sommet des dirigeants de la Communauté économique des Etats d`Afrique de l`ouest (CEDEAO) s’est ouvert ce jeudi, à Abuja, au Nigéria, en présence du président ivoirien Alassane Ouattara.
Ce sommet est consacré, précise-t-on, à des questions de sécurité dans la sous-région, notamment la piraterie dans le golfe de Guinée et l`insécurité dans le Sahel, ainsi qu`à l`élection d`un nouveau président de la Commission de l`organisation dont l’intérim est assuré par le Ghanéen James Victor Gbeho après le départ de Ibn Chambas.
Le sommet qui va également désigner le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, comme successeur au Nigérian Goodluck Jonathan dont le mandat à la tête de la CEDEAO arrive à expiration, va débattre, durant les deux jours, des questions de la recrudescence de la piraterie au large du golfe de Guinée et de l’insécurité dans le Sahel.
En effet, en dehors de la menace de la branche maghrébine d`Al Qaïda (Aqmi), depuis mi-janvier, le Mali est confronté à une offensive de la rébellion touareg. Aux dires des organisations humanitaires internationales, ces violences provoquent un exode à l`intérieur du pays et vers d`autres Etats, notamment le Niger et le Burkina Faso, membres de la CEDEAO. Une situation préoccupante, d`autant que près de 12 millions de personnes sont actuellement menacées par la famine, ajoute-t-on.
Selon l’Agence France presse (AFP), huit chefs d`Etat sur les 15 sont présents à Abuja pour ce sommet.
Il s`agit de Thomas Boni Yayi (Bénin), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Alassane Ouattara (Côte d`Ivoire), Raimundo Pereira (Guinée Bissau), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Mahamadou Issoufou (Niger), Goodluck Jonathan (Nigeria) et Ernest Koroma (Sierra Leone).
Le président de la Commission de l`UA, Jean Ping, et Saïd Djinnit, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l`Afrique de l`ouest sont également présents, précise l’agence française.
Créée en 1975, l’organisation sous-régionale a pour mission de promouvoir l`intégration économique dans "tous les domaines de l`activité économique, notamment l`industrie, les transports, les télécommunications, l`énergie, l`agriculture, les ressources naturelles, le commerce, les questions monétaires et financières, les questions sociales et culturelles", rappelle-t-on.
Ce sommet est consacré, précise-t-on, à des questions de sécurité dans la sous-région, notamment la piraterie dans le golfe de Guinée et l`insécurité dans le Sahel, ainsi qu`à l`élection d`un nouveau président de la Commission de l`organisation dont l’intérim est assuré par le Ghanéen James Victor Gbeho après le départ de Ibn Chambas.
Le sommet qui va également désigner le chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, comme successeur au Nigérian Goodluck Jonathan dont le mandat à la tête de la CEDEAO arrive à expiration, va débattre, durant les deux jours, des questions de la recrudescence de la piraterie au large du golfe de Guinée et de l’insécurité dans le Sahel.
En effet, en dehors de la menace de la branche maghrébine d`Al Qaïda (Aqmi), depuis mi-janvier, le Mali est confronté à une offensive de la rébellion touareg. Aux dires des organisations humanitaires internationales, ces violences provoquent un exode à l`intérieur du pays et vers d`autres Etats, notamment le Niger et le Burkina Faso, membres de la CEDEAO. Une situation préoccupante, d`autant que près de 12 millions de personnes sont actuellement menacées par la famine, ajoute-t-on.
Selon l’Agence France presse (AFP), huit chefs d`Etat sur les 15 sont présents à Abuja pour ce sommet.
Il s`agit de Thomas Boni Yayi (Bénin), Blaise Compaoré (Burkina Faso), Alassane Ouattara (Côte d`Ivoire), Raimundo Pereira (Guinée Bissau), Ellen Johnson Sirleaf (Libéria), Mahamadou Issoufou (Niger), Goodluck Jonathan (Nigeria) et Ernest Koroma (Sierra Leone).
Le président de la Commission de l`UA, Jean Ping, et Saïd Djinnit, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour l`Afrique de l`ouest sont également présents, précise l’agence française.
Créée en 1975, l’organisation sous-régionale a pour mission de promouvoir l`intégration économique dans "tous les domaines de l`activité économique, notamment l`industrie, les transports, les télécommunications, l`énergie, l`agriculture, les ressources naturelles, le commerce, les questions monétaires et financières, les questions sociales et culturelles", rappelle-t-on.
