Abidjan -L’Observatoire de la liberté de la presse, de l’éthique et de la déontologie (OLPED) appelle les professionnels des médias, particulièrement les journalistes professionnels, à la claire conscience de leur responsabilité sociale.
Dans un communiqué issu du monitoring des médias de la période du 18 au 22 mars 2012 dont l'AIP a reçu copie mardi, l’organe d’autorégulation se dit préoccupé des manquements
"graves" au nouveau code de déontologie des journalistes en Côte d’Ivoire qui a fait l’objet d’un atelier d’explication, les 21 et 22 mars, aux directeurs de publication et rédacteurs en chefs des journaux, télévisions et radios nationaux.
"Nous avons relevé le non respect des articles 14 et 15 des Devoirs du journaliste professionnel en Côte d’Ivoire", a indiqué le président de l’OLPED, Zio Moussa.
Selon lui, ces nombreuses fautes commises par les journaux de différentes lignes éditoriales "ne sont pas de nature à favoriser la réconciliation et le retour d’une paix durable".
C’est pourquoi, convaincu d’un "rôle d’éducation et de formation" des citoyens aux valeurs républicaines que doit jouer la presse ivoirienne, l’OLPED en appelle à la responsabilité sociale des journalistes professionnels.
Créé en 1995 par les journalistes ivoiriens eux-mêmes, l’OLPED a, entre autres missions, de faire respecter le code de déontologie des journalistes et de défendre la liberté de la presse, rappelle-t-on.
Dans un communiqué issu du monitoring des médias de la période du 18 au 22 mars 2012 dont l'AIP a reçu copie mardi, l’organe d’autorégulation se dit préoccupé des manquements
"graves" au nouveau code de déontologie des journalistes en Côte d’Ivoire qui a fait l’objet d’un atelier d’explication, les 21 et 22 mars, aux directeurs de publication et rédacteurs en chefs des journaux, télévisions et radios nationaux.
"Nous avons relevé le non respect des articles 14 et 15 des Devoirs du journaliste professionnel en Côte d’Ivoire", a indiqué le président de l’OLPED, Zio Moussa.
Selon lui, ces nombreuses fautes commises par les journaux de différentes lignes éditoriales "ne sont pas de nature à favoriser la réconciliation et le retour d’une paix durable".
C’est pourquoi, convaincu d’un "rôle d’éducation et de formation" des citoyens aux valeurs républicaines que doit jouer la presse ivoirienne, l’OLPED en appelle à la responsabilité sociale des journalistes professionnels.
Créé en 1995 par les journalistes ivoiriens eux-mêmes, l’OLPED a, entre autres missions, de faire respecter le code de déontologie des journalistes et de défendre la liberté de la presse, rappelle-t-on.