La 11ème édition du Yehe 2012 s’annonce pour le mois de novembre prochain avec à l’affiche les Massaï du Kenya qui promettent un vrai échange culturel entre le Kenya et la Côte d’Ivoire. Le lancement de cet évènement a eue lieu le samedi 31 mars 2012, à l’espace CGRAE au Plateau, en présence de plusieurs acteurs culturels.
Cette 11ème édition de Yehe, à l’image des éditions précédentes, qui se veut être une plate-forme d’échange culturel, met à l’honneur les Massaï, un authentique peuple originaire du Kenya. Pour permettre aux Ivoiriens d’avoir une idée de la culture de ce peuple, une délégation kenyane a fait le déplacement à Abidjan à l’occasion de la cérémonie de lancement qui a été marquée par la présence de personnalités du milieu de la mode et de la culture dont Pathé’O, Anderson D, Marie Louise Asseu... Pour donner un bref aperçu de la culture kenyane, la délégation conduite par Miss Berthe a présenté une panoplie de produits culturels de ce peuple (Bracelets, colliers, ceintures…). Le créateur de mode Elloi Sessou a gratifié le public d’un défilé d’une collection tradi-moderne qui est une fusion de la culture kenyane à celle de la Côte d’Ivoire. Sur le plan musical, ce partage culturel a été également exprimé par les prestations des Massaï et les artistes ivoiriens Mulukuku Dj et Dj Arsenal. Miss Zahui promotrice du Yehe a remis à la directrice de la ‘’Page blanche’’, Dem Niacadé, des ordinateurs et un fauteuil roulant. Autour du slogan ‘’Un Africain, un métier’’, l’Ong Yehe, œuvre dans le domaine du social en organisant chaque année un espace de rencontre culturel dénommé «Yehe». Elle contribue ainsi à l’insertion de plusieurs jeunes dans la vie active par le biais de la couture. Le Yehe est donc une plate-forme d’échanges, de découverte et d’appui aux jeunes créateurs qui font leurs premiers pas dans le domaine de la mode sans disposer de moyens nécessaires. Selon Miss Zahui, ce sont plus de 1.208 machines à coudre qui ont été offerts aux jeunes créateurs des douze communes du district d’Abidjan et des onze villes de l’intérieur (de 1998 à 2009). L’Ong a également offert, précise-t-elle, des bons de formations qualifiantes en couture, des cours d’anglais à 300 jeunes nationaux et douze (12) créateurs étrangers du Bénin, du Burkina et de la Centrafrique.
Larissa G
Cette 11ème édition de Yehe, à l’image des éditions précédentes, qui se veut être une plate-forme d’échange culturel, met à l’honneur les Massaï, un authentique peuple originaire du Kenya. Pour permettre aux Ivoiriens d’avoir une idée de la culture de ce peuple, une délégation kenyane a fait le déplacement à Abidjan à l’occasion de la cérémonie de lancement qui a été marquée par la présence de personnalités du milieu de la mode et de la culture dont Pathé’O, Anderson D, Marie Louise Asseu... Pour donner un bref aperçu de la culture kenyane, la délégation conduite par Miss Berthe a présenté une panoplie de produits culturels de ce peuple (Bracelets, colliers, ceintures…). Le créateur de mode Elloi Sessou a gratifié le public d’un défilé d’une collection tradi-moderne qui est une fusion de la culture kenyane à celle de la Côte d’Ivoire. Sur le plan musical, ce partage culturel a été également exprimé par les prestations des Massaï et les artistes ivoiriens Mulukuku Dj et Dj Arsenal. Miss Zahui promotrice du Yehe a remis à la directrice de la ‘’Page blanche’’, Dem Niacadé, des ordinateurs et un fauteuil roulant. Autour du slogan ‘’Un Africain, un métier’’, l’Ong Yehe, œuvre dans le domaine du social en organisant chaque année un espace de rencontre culturel dénommé «Yehe». Elle contribue ainsi à l’insertion de plusieurs jeunes dans la vie active par le biais de la couture. Le Yehe est donc une plate-forme d’échanges, de découverte et d’appui aux jeunes créateurs qui font leurs premiers pas dans le domaine de la mode sans disposer de moyens nécessaires. Selon Miss Zahui, ce sont plus de 1.208 machines à coudre qui ont été offerts aux jeunes créateurs des douze communes du district d’Abidjan et des onze villes de l’intérieur (de 1998 à 2009). L’Ong a également offert, précise-t-elle, des bons de formations qualifiantes en couture, des cours d’anglais à 300 jeunes nationaux et douze (12) créateurs étrangers du Bénin, du Burkina et de la Centrafrique.
Larissa G
