Le ministre de l’Etat, ministre de l’Industrie, Dosso Moussa, a pris part le vendredi 1er juin 2012 à la Caistab à Abidjan-Plateau, au 1er salon ivoirien pour la recherche de financement aux projets, organisé par l’Association internationale des étudiants en sciences économiques de Côte d’Ivoire (Aiesec-CI). A l’ouverture, le ministre a encouragé les organisateurs dont l’initiative s’inscrit dans la vision du gouvernement. «J’ai tenu à être présent, afin de démontrer la position du gouvernement face aux initiatives des jeunes. Ainsi, nous encourageons l’Aiesec à continuer sur cette lancée», a précisé Dosso Moussa. Avant d’indiquer: «La question de l’emploi des jeunes pose des difficultés à toutes la classe politique».
Mme Dao Gabala, directrice régionale de l’Afrique de l’Ouest de Oiko Crédit, a pour sa part, demandé aux jeunes de changer de mentalité. «Les jeunes doivent s’inscrire dans une dynamique d’entreprenariat», a-t-elle encouragé. Précisant que l’emploi à la fonction publique ne pourra plus satisfaire les jeunes d’ici quelques années. De même, pour le secteur privé. «La seule alternative aujourd’hui c’est de vous orienter vers des initiatives de création d’entreprise», a ajouté le ministre de l’Industrie, parrain de cette 1ère édition. Quant à la question du financement, Dao Gabala a été clair. «Les ressources financières existent. Cependant, c’est aux jeunes de réaliser de bons projets accentués sur le volet social», a-t-elle expliqué. Dominique Gnézélé, président de l’AIESEC-CI a quant à lui défini l’intérêt de l’organisation du Salon. «Le taux de chômage est très élevé. La seule alternative de réduire ce taux, c’est de pouvoir réaliser des projets et avoir des financements. C’est pourquoi, cette organisation qui existe en Côte d’Ivoire depuis 1974, prend ses responsabilités. Nous invitons les jeunes à s’unir au sein de l’Aiesec», a-t-il lancé.
OD
Mme Dao Gabala, directrice régionale de l’Afrique de l’Ouest de Oiko Crédit, a pour sa part, demandé aux jeunes de changer de mentalité. «Les jeunes doivent s’inscrire dans une dynamique d’entreprenariat», a-t-elle encouragé. Précisant que l’emploi à la fonction publique ne pourra plus satisfaire les jeunes d’ici quelques années. De même, pour le secteur privé. «La seule alternative aujourd’hui c’est de vous orienter vers des initiatives de création d’entreprise», a ajouté le ministre de l’Industrie, parrain de cette 1ère édition. Quant à la question du financement, Dao Gabala a été clair. «Les ressources financières existent. Cependant, c’est aux jeunes de réaliser de bons projets accentués sur le volet social», a-t-elle expliqué. Dominique Gnézélé, président de l’AIESEC-CI a quant à lui défini l’intérêt de l’organisation du Salon. «Le taux de chômage est très élevé. La seule alternative de réduire ce taux, c’est de pouvoir réaliser des projets et avoir des financements. C’est pourquoi, cette organisation qui existe en Côte d’Ivoire depuis 1974, prend ses responsabilités. Nous invitons les jeunes à s’unir au sein de l’Aiesec», a-t-il lancé.
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