Le patron de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (ONUCI), Bert Koenders, a estimé le week-end dernier dans l’ouest ivoirien, ‘’qu’il n’y a pas d’alternative à la réconciliation et au vivre ensemble’’, indique un communiqué de la mission transmis lundi à APA dans la capitale économique ivoirienne.
« Les problèmes que vous connaissez dans cette région ont des causes profondes, et ce sont ces causes qu’il faut traiter», a dit M. Koenders cité par le communiqué qui rapporte ses rencontres avec les populations de l’ouest ivoirien où sept casques bleus ont trouvé la mort le 8 juin dernier.
« La proximité de la frontière, sa porosité, les problèmes fonciers, et le manque de confiance entre les uns et les autres sont autant de facteurs de tensions entre les communautés », a-t-il noté.
Pour lui, le grand défi de la région reste le manque de confiance qui empêche les gens de vivre dans l’harmonie.
‘’Je suis confiant en la capacité de réconciliation de ce pays, qui a une immense culture de dialogue et d’échange », a soutenu le haut fonctionnaire onusien ajoutant ‘’qu’il n’y a pas d’alternative à la réconciliation et au vivre ensemble’’.
Il a par ailleurs insisté sur le fait que ‘’la réconciliation est un processus qui prend du temps’’.
‘’Il est entre vos mains. Nous ne pouvons pas faire ce travail à votre place. Cependant, nous sommes là pour vous appuyer et vous pouvez compter sur tout notre soutien. Nous sommes là pour vous aider à créer un environnement favorable à l’apaisement », a conclu M. Koenders.
« Les problèmes que vous connaissez dans cette région ont des causes profondes, et ce sont ces causes qu’il faut traiter», a dit M. Koenders cité par le communiqué qui rapporte ses rencontres avec les populations de l’ouest ivoirien où sept casques bleus ont trouvé la mort le 8 juin dernier.
« La proximité de la frontière, sa porosité, les problèmes fonciers, et le manque de confiance entre les uns et les autres sont autant de facteurs de tensions entre les communautés », a-t-il noté.
Pour lui, le grand défi de la région reste le manque de confiance qui empêche les gens de vivre dans l’harmonie.
‘’Je suis confiant en la capacité de réconciliation de ce pays, qui a une immense culture de dialogue et d’échange », a soutenu le haut fonctionnaire onusien ajoutant ‘’qu’il n’y a pas d’alternative à la réconciliation et au vivre ensemble’’.
Il a par ailleurs insisté sur le fait que ‘’la réconciliation est un processus qui prend du temps’’.
‘’Il est entre vos mains. Nous ne pouvons pas faire ce travail à votre place. Cependant, nous sommes là pour vous appuyer et vous pouvez compter sur tout notre soutien. Nous sommes là pour vous aider à créer un environnement favorable à l’apaisement », a conclu M. Koenders.