PARIS - Le PCF a condamné mardi dans un communiqué la "politique répressive" du président ivoirien Alassane Ouattara, deux jours avant sa visite en France où il doit rencontrer le président François Hollande.
"Les autorités françaises, lors de cette rencontre, doivent exprimer l`exigence vis-à-vis des autorités ivoiriennes du respect des libertés, de l`Etat de droit en Côte d`Ivoire et de la sécurité des populations", écrit dans un communiqué le PCF.
Le PCF envisage aussi à l`Assemblée nationale, où il compte une dizaine d`élus, "l`ouverture d`une commission d`enquête parlementaire concernant les responsabilités françaises dans la crise ivoirienne".
"Le PCF condamne la nouvelle attaque portée contre le camp de déplacés de Nahibly à l`ouest de la Côte d`Ivoire, ayant fait une dizaine de morts et des dizaines de blessés", ajoute le parti, déplorant que la mission de l`ONU (ONUCI) soit "incapable d`assurer la sécurité des populations déplacées".
"Emprisonnements arbitraires, impunité du régime actuel concernant les violences meurtrières commises en 2011, non respect des engagements pris dans la mise en place d`un processus de " rassemblement et de réconciliation ", violations des droits civils et politiques, les populations paient le prix d`une justice inéquitable", selon les communistes.
st/frd/bma
"Les autorités françaises, lors de cette rencontre, doivent exprimer l`exigence vis-à-vis des autorités ivoiriennes du respect des libertés, de l`Etat de droit en Côte d`Ivoire et de la sécurité des populations", écrit dans un communiqué le PCF.
Le PCF envisage aussi à l`Assemblée nationale, où il compte une dizaine d`élus, "l`ouverture d`une commission d`enquête parlementaire concernant les responsabilités françaises dans la crise ivoirienne".
"Le PCF condamne la nouvelle attaque portée contre le camp de déplacés de Nahibly à l`ouest de la Côte d`Ivoire, ayant fait une dizaine de morts et des dizaines de blessés", ajoute le parti, déplorant que la mission de l`ONU (ONUCI) soit "incapable d`assurer la sécurité des populations déplacées".
"Emprisonnements arbitraires, impunité du régime actuel concernant les violences meurtrières commises en 2011, non respect des engagements pris dans la mise en place d`un processus de " rassemblement et de réconciliation ", violations des droits civils et politiques, les populations paient le prix d`une justice inéquitable", selon les communistes.
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