Avec vous, on parle de deux projets, sinon deux évènements, les travaux de lancement de l’autoroute Abidjan-Grand-Bassam et le lancement des travaux d’adduction en eau potable de la ville d’Abidjan, à partir de la nappe souterraine de Bonoua, prévus pour le lundi 6 août 2012. En quoi va d’abord consister le lancement des travaux de l’autoroute ?
Le projet consiste, depuis le carrefour Akwaba, à faire une autoroute de deux, voire trois voies. Cela va pratiquement faire trente kilomètres
Quels en sont les avantages pour les populations ?
Vous savez que du carrefour Akwaba à Bassam, les véhicules mettaient deux à trois heures de route aux heures de pointe. Avec cette autoroute, ce ne sera plus que 15 minutes de route. C’est un potentiel qui est en train de se développer. C’est vraiment l’émergence d’une Côte d’Ivoire en plein développement structurel et économique. Ce projet est fait grâce à un prêt contracté par le gouvernement ivoirien auprès de gouvernement chinois, qui fait environ 70 milliards F Cfa. Le projet va démarrer le 3 août et va avoir une durée de trente mois pour prendre fin le 3 février 2015.
En quoi va consister l’autre projet qui est celui de l’adduction en eau potable de la ville d’Abidjan, à partir de la nappe souterraine de Bonoua ?
On n’est pas loin d’une situation extrêmement pénible au niveau de l’eau potable dans la ville d’Abidjan. La nappe souterraine d’Abidjan a quasiment atteint la surexploitation. La source la moins coûteuse et la plus facile et la plus accessible, dans un premier temps, est la nappe souterraine de Bonoua. C’est quasiment la capacité de la nappe souterraine d’Abidjan, qui se trouve à 50 kilomètres. Il s’agit de recueillir l’eau de cette nappe et de la convoyer tout au long de Bonoua, de Bassam et d’Abidjan. Les travaux de ce projet, qui ont un coût de 5 milliards F Cfa, vont également démarrer le lundi 6 août prochain, après la cérémonie de lancement, et vont durer 24 mois. Le financement vient aussi d’un prêt à prévision préférentielle du gouvernement chinois au gouvernement ivoirien. Les populations bénéficiaires sont celles de Bonoua, de Bassam et de toutes les localités qui se trouvent entre Bassam et Abidjan. Cette zone va devenir au cours des prochaines années un pôle de croissance des plus importants.
Propos retranscrits par SYLVAIN TAKOUE
Le projet consiste, depuis le carrefour Akwaba, à faire une autoroute de deux, voire trois voies. Cela va pratiquement faire trente kilomètres
Quels en sont les avantages pour les populations ?
Vous savez que du carrefour Akwaba à Bassam, les véhicules mettaient deux à trois heures de route aux heures de pointe. Avec cette autoroute, ce ne sera plus que 15 minutes de route. C’est un potentiel qui est en train de se développer. C’est vraiment l’émergence d’une Côte d’Ivoire en plein développement structurel et économique. Ce projet est fait grâce à un prêt contracté par le gouvernement ivoirien auprès de gouvernement chinois, qui fait environ 70 milliards F Cfa. Le projet va démarrer le 3 août et va avoir une durée de trente mois pour prendre fin le 3 février 2015.
En quoi va consister l’autre projet qui est celui de l’adduction en eau potable de la ville d’Abidjan, à partir de la nappe souterraine de Bonoua ?
On n’est pas loin d’une situation extrêmement pénible au niveau de l’eau potable dans la ville d’Abidjan. La nappe souterraine d’Abidjan a quasiment atteint la surexploitation. La source la moins coûteuse et la plus facile et la plus accessible, dans un premier temps, est la nappe souterraine de Bonoua. C’est quasiment la capacité de la nappe souterraine d’Abidjan, qui se trouve à 50 kilomètres. Il s’agit de recueillir l’eau de cette nappe et de la convoyer tout au long de Bonoua, de Bassam et d’Abidjan. Les travaux de ce projet, qui ont un coût de 5 milliards F Cfa, vont également démarrer le lundi 6 août prochain, après la cérémonie de lancement, et vont durer 24 mois. Le financement vient aussi d’un prêt à prévision préférentielle du gouvernement chinois au gouvernement ivoirien. Les populations bénéficiaires sont celles de Bonoua, de Bassam et de toutes les localités qui se trouvent entre Bassam et Abidjan. Cette zone va devenir au cours des prochaines années un pôle de croissance des plus importants.
Propos retranscrits par SYLVAIN TAKOUE