ABIDJAN (AFP) - Des inconnus armés ont attaqué un poste de
contrôle de l`armée à l`entrée de la cité d`Agboville, à quelque 80 km au nord
d`Abidjan, dans la nuit de mardi à mercredi, faisant deux blessés, a-t-on
appris de source militaire.
"Une dizaine d`assaillants ont attaqué le poste d`observation des Forces
républicaines (FRCI) à Erymakouguié", village voisin d`Agboville, a déclaré
une source FRCI jointe par l`AFP sur place.
Lancée vers 01H00 du matin (locale et GMT), "l`attaque a duré deux heures.
Le bilan fait état de deux blessés, dont un blessé grave qui a été
hospitalisé", a-t-elle indiqué.
"Les assaillants ont ensuite pris la fuite mais nous avons arrêté quelques
suspects", a-t-elle ajouté, sans plus de précision.
Cette attaque a été confirmée à l`AFP par plusieurs habitants et un
journaliste local.
Elle survient après une série d`opérations, dimanche et lundi, menées par
des assaillants non identifiés et dans lesquelles dix militaires ont été tués
dans la capitale économique ivoirienne.
Elles ont été attribuées par le ministre de l`Intérieur, Hamed Bakayoko, à
des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo. Le parti de M. Gbagbo a sommé
le gouvernement d`agir face à une "vague de violence meurtrière".
contrôle de l`armée à l`entrée de la cité d`Agboville, à quelque 80 km au nord
d`Abidjan, dans la nuit de mardi à mercredi, faisant deux blessés, a-t-on
appris de source militaire.
"Une dizaine d`assaillants ont attaqué le poste d`observation des Forces
républicaines (FRCI) à Erymakouguié", village voisin d`Agboville, a déclaré
une source FRCI jointe par l`AFP sur place.
Lancée vers 01H00 du matin (locale et GMT), "l`attaque a duré deux heures.
Le bilan fait état de deux blessés, dont un blessé grave qui a été
hospitalisé", a-t-elle indiqué.
"Les assaillants ont ensuite pris la fuite mais nous avons arrêté quelques
suspects", a-t-elle ajouté, sans plus de précision.
Cette attaque a été confirmée à l`AFP par plusieurs habitants et un
journaliste local.
Elle survient après une série d`opérations, dimanche et lundi, menées par
des assaillants non identifiés et dans lesquelles dix militaires ont été tués
dans la capitale économique ivoirienne.
Elles ont été attribuées par le ministre de l`Intérieur, Hamed Bakayoko, à
des partisans de l`ex-président Laurent Gbagbo. Le parti de M. Gbagbo a sommé
le gouvernement d`agir face à une "vague de violence meurtrière".