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Sport Publié le mercredi 29 août 2012 | Le Democrate

Violence lors du match Asec-Séwé : Qui est responsable ?

© Le Democrate Par mousnabi
super division/8eme journee: Asec mimosas 1-1 Sewé Sport de San pédro
Dimanche 26 août 2012.Abidjan. Stade Robert champroux de Marcory : Le sewé sport est champion de côte d`Ivoire saison 2012 en arrachant le nul face à l`Asec mimosas dans les derniers instants du match.Pour protester contre l`arbitrage, les supporters de l`Asec ont tout saccagé sur leur passage.
Le match de la 9ème journée de la Superdivision ayant opposé l’Asec au Séwé dimanche dernier au stade Champroux a basculé dans la violence. Les chaises, les chaises, les installations tout a volé en éclat. Trois jours après cet incident malheureux, l’on se pose la question de savoir qui est responsable de ces violences ? Asec-Séwé comptant pour la 9ème et avant dernière journée de la Superdivision est un match à enjeux. En effet, les deux équipes jouent le titre. Ce qui explique l’affluence des supporters notamment les Actionnaires dont l’équipe a commencé à refleurir depuis le limogeage de Sébastien Désabre. Déjà, avant la première mi-temps, la tension monte suite à l’expulsion de Mvondo consécutif à deux cartons jaunes, les Actionnaires voient en cette expulsion, une volonté de nuire à leur formation désormais réduite à dix. A la reprise, les Mimos bien qu’en infériorité numérique, parviennent à inscrire un but qui les place désormais à une longueur des Séwé. Les Jaune et noir tiennent le bon bout jusqu’au tout dernier instant de la partie où Dembélé Denis, l’arbitre de la partie, siffle un penalty, consécutif à une faute de main d’un joueur mimos dans la surface de réparation. Penalty transformé par le Séwé qui est donc champion de la saison 2011-2012. Cela a suffi pour jeter de l’huile sur le feu. Les Actionnaires, très en colère, s’en prennent aux installations Pour les disperser, la police fait usage de gaz lacrymogènes. C’est le sauve-qui peut. Même si rien ne justifie cette violence des actionnaires qui ont oublié que le football est avant tout un jeu, il faut noter que l’arbitre de la partie a manqué de psychologie. Car les signes avant-coureur de cette violence étaient déjà perceptibles à la mi temps où il a eu du mal à regagner les vestiaires. Dans ces conditions il aurait dû faire preuve de rigueur envers lui-même et envers les 22 acteurs sur le terrain. Malheureusement. Ce qu’on craignait finalement est arrivé. Maintenant, l’on se demande ce que va décider la Fif après ces violences qui ternissent le football ivoirien.
A. M
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