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Société Publié le mercredi 12 septembre 2012 | Le Nouveau Réveil

Rencontre Gepci – Synappci du jeudi prochain / Amédée Adon Assi, (président des Editeurs), à la presse, hier : «Nous y allons pour un nouvel accord avec le syndicat»

© Le Nouveau Réveil Par DR
Formation de 15 journalistes en France: Le FSDP et le GEPCI échangent avec le Premier secrétaire de l’ambassade
Mme N`Guessan Bernise Directeur Exécutif du FSDP et M.Olivier Dufour, Premier secrétaire de l`ambassade de France en Côte d`Ivoire lors de la séance de travail.
Au sortir des récents états généraux sur la presse tenus à Yamoussoukro, il est prévu une rencontre entre le Groupement des Editeurs de Presse de Côte d’Ivoire (Gepci) et le Syndicat des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), sous l’œil vigilant du CNP. En prélude à ce rendez-vous déterminant pour la convention collective, le président du Gepci, Amédée Adon Assi, a animé une conférence de presse, hier mardi 11 septembre, à son bureau pour faire quelques précisions de taille en ces termes : «Après l’atelier de Yamoussoukro, nous avions convenu d’une rencontre avec le Synappci sous la supervision du Cnp. A ce rendez-vous prévu le jeudi 13 septembre 2012, il sera question d’un pourparler avec le syndicat autour des modalités d’application d’un nouvel accord en attendant que la convention collective entre dans sa phase pratique dans trois ans. Evidemment, d’ici là, comme promis, le gouvernement aura eu le temps nécessaire pour faire face à nos préoccupations qui ont été prises en compte par les états généraux de la presse tenus récemment à Yamoussoukro.», a dit le successeur de Denis Kah Zion avant de faire une invite à Guillaume Gbato et ses camarades syndiqués. «Par ailleurs, nous invitons tous les syndicats à nous asseoir et discuter. Nous sommes pour l’application effective de la convention collective mais pas maintenant pour les 1.900 FCfa. Tout simplement parce que nous sommes dans un engrenage. Nous avons d’énormes difficultés pour supporter les charges de nos entreprises. Sous la pression des travailleurs, nous pouvons accepter de le faire mais ça sera pour nous de prendre un gros pari. Et puis, souvenons-nous qu’après le protocole d’accord de dix-huit mois signé en 2008, nous sommes passés à 1.400. Aujourd’hui, conformément aux recommandations de Yamoussoukro, nous passerons bientôt à 1.600 et dans trois ans, la convention collective sera dans sa phase pleine et entière, c`est-à-dire à 1.900 FCfa, cela s’impose à tous. Et ceux qui s’en déroberont seront passibles de sanctions de la part du Cnp, chargé de l’application stricte de ces mesures.», a rassuré le patron du journal "Le sport". Il était entouré, hier, à la table de séance, de quelques collaborateurs dont François N’guilissi, Zohoré Lassane, Amidou Fomba et Sidibé Smith.
DIEUSMONDE TADE
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