La table ronde organisée par le ministère de l’Agriculture en vue de la mobilisation des ressources pour le financement du Programme national d’investissement agricole (PNIA) et de la Nouvelle Alliance pour la sécurité Alimentaire et la nutrition (IG8) a pris fin hier, jeudi 13 septembre 2012. Les partenaires au développement, le secteur privé, des organisations professionnelles agricoles ont promis donner 2040,5 milliards de FCFA sur 2002,818 milliards attendus.
Le rêve des autorités ivoiriennes de créer une économie d’échelle par la mise en place d’un programme agricole structuré, à même de couvrir les besoins nationaux tant en nutrition qu’en produits de rente, est en passe de devenir réalité. Les partenaires au développement, le secteur privé, des organisations professionnelles agricoles viennent de le démontrer, en optant pour le financement du Programme National d’investissement agricole (PNIA) et de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition (IG8). Un projet tant attendu par les autorités gouvernementales dont le financement nécessitait la mobilisation d’une ressource de plus de 2000 milliards de FCFA. Lors de la table ronde, vue l’urgence et surtout la nécessité à créer les conditions de la relance du secteur agricole, les participants ont promis apporter 2040,5 milliards de FCFA sur 2002,818 milliards de FCFA (40 milliards de Dollars US) attendus. Quoi que les financements annoncés ne sont que des intentions, pour le ministre ivoirien de l’Agriculture, c’est un pas important, voire rassurant pour redonner à l’agriculture ivoirienne une nouvelle chance de rebondir et relancer l’économie. Car, au-delà de cette relance de l’agriculture, il faut voir plusieurs possibilités d’offres d’emplois qui contribueront à réduire la pauvreté. Le PNIA a pour ambition non seulement de rattraper le retard accumulé au niveau des investissements publiques durant les dix dernières années, mais aussi de jouer le rôle de catalyseur de l’investissement privé et associatif en vue de réaliser au moins 9% de croissance agricole à l’horizon 2020 (en d’autres termes, réaliser un taux de croissance de 9% du PIB agricole). Le PNIA est bâti autour de six projets. Il vise à améliorer de la productivité et la compétitivité des productions agricoles ; à développer des filières ; améliorer la gouvernance du secteur agricole ; renforcer les capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture ; une gestion durable des ressources halieutiques et une réhabilitation de la forêt et la relance de la filière bois. La mise en œuvre de ces six programmes devra concourir à la réalisation de quatre (4) objectifs stratégiques, à savoir la promotion des produits stratégiques pour la sécurité et la souveraineté alimentaires ; la promotion d’un environnement global favorable à l’investissement privé ; la promotion d’un développement durable et diversifié des cultures de rente et d’exportation et la promotion d’une gouvernance agricole cohérente et efficace.
Honoré Kouassi
Le rêve des autorités ivoiriennes de créer une économie d’échelle par la mise en place d’un programme agricole structuré, à même de couvrir les besoins nationaux tant en nutrition qu’en produits de rente, est en passe de devenir réalité. Les partenaires au développement, le secteur privé, des organisations professionnelles agricoles viennent de le démontrer, en optant pour le financement du Programme National d’investissement agricole (PNIA) et de la Nouvelle alliance pour la sécurité alimentaire et la nutrition (IG8). Un projet tant attendu par les autorités gouvernementales dont le financement nécessitait la mobilisation d’une ressource de plus de 2000 milliards de FCFA. Lors de la table ronde, vue l’urgence et surtout la nécessité à créer les conditions de la relance du secteur agricole, les participants ont promis apporter 2040,5 milliards de FCFA sur 2002,818 milliards de FCFA (40 milliards de Dollars US) attendus. Quoi que les financements annoncés ne sont que des intentions, pour le ministre ivoirien de l’Agriculture, c’est un pas important, voire rassurant pour redonner à l’agriculture ivoirienne une nouvelle chance de rebondir et relancer l’économie. Car, au-delà de cette relance de l’agriculture, il faut voir plusieurs possibilités d’offres d’emplois qui contribueront à réduire la pauvreté. Le PNIA a pour ambition non seulement de rattraper le retard accumulé au niveau des investissements publiques durant les dix dernières années, mais aussi de jouer le rôle de catalyseur de l’investissement privé et associatif en vue de réaliser au moins 9% de croissance agricole à l’horizon 2020 (en d’autres termes, réaliser un taux de croissance de 9% du PIB agricole). Le PNIA est bâti autour de six projets. Il vise à améliorer de la productivité et la compétitivité des productions agricoles ; à développer des filières ; améliorer la gouvernance du secteur agricole ; renforcer les capacités des parties prenantes au développement de l’agriculture ; une gestion durable des ressources halieutiques et une réhabilitation de la forêt et la relance de la filière bois. La mise en œuvre de ces six programmes devra concourir à la réalisation de quatre (4) objectifs stratégiques, à savoir la promotion des produits stratégiques pour la sécurité et la souveraineté alimentaires ; la promotion d’un environnement global favorable à l’investissement privé ; la promotion d’un développement durable et diversifié des cultures de rente et d’exportation et la promotion d’une gouvernance agricole cohérente et efficace.
Honoré Kouassi
