La salle de conférence de la Banque mondiale à Paris, abrite depuis ce mardi 04 au 05 décembre la réunion du groupe consultatif pour le financement du Plan national de développement(PND) 2012-2015. Elaboré par le ministère du Plan, le PND 2012-2015 se présente comme le cadre dans lequel, devront s’inscrire toutes les interventions majeures du gouvernement au profit des populations pour les trois prochaines années.
En effet, dans l’optique de faire de la Cote d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, le gouvernement a adopté le PND, estimé à près de 11.000 milliards de FCFA. Pour mobiliser ce montant, les autorités ivoiriennes, compte sur le soutien de la Banque mondiale, du FMI, de la Banque islamique de développement, des partenaires bilatéraux et multilatéraux, des ONG et des investisseurs privés qui étaient tous présent à la cérémonie d`ouverture.
Diaby Lancine, directeur du plan a d`emblée situé le cadre de cette rencontre lors de son allocution. Avant l`intervention du président ivoirien, différents intervenants se sont succédés à la tribune ,notamment, Birama SIDIBE vice présidente de la banque islamique de développent ainsi que que le représentant spécial su SG des Nations Unies en Côte d`Ivoire, Bert Koenders . La cérémonie d`ouverture été suivie par la présentation de la nouvelle vision du développement de la Côte d`Ivoire exécuté par le premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan. C`est la contribution des partenaires présent dans le pays qui a conclu la première journeé de cette importante reunion.
Outre le chef de l’Etat, ont pris part à cette importante rencontre: les ministres d’Etat, le ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, le ministre du Plan et du développement, Mabri Toikeusse, le ministre de l’Emploi, des affaires sociales et de la formation professionnelle Dosso Moussa, les ministres des Infrastructures économiques, Patrick Achi, des Mines, du pétrole et de l’énergie, Adama Toungara, le Ministre Billon du Commerce, de l` artisanat et promotion des PME et d’autres membres du gouvernement.
Notons par ailleurs que les principaux enjeux du Plan national de développement s’articulent autour de la transformation structurelle de l’économie ivoirienne et de la forte implication des nationaux dans la gestion et le contrôle du système de production.
DA
En effet, dans l’optique de faire de la Cote d’Ivoire un pays émergent à l’horizon 2020, le gouvernement a adopté le PND, estimé à près de 11.000 milliards de FCFA. Pour mobiliser ce montant, les autorités ivoiriennes, compte sur le soutien de la Banque mondiale, du FMI, de la Banque islamique de développement, des partenaires bilatéraux et multilatéraux, des ONG et des investisseurs privés qui étaient tous présent à la cérémonie d`ouverture.
Diaby Lancine, directeur du plan a d`emblée situé le cadre de cette rencontre lors de son allocution. Avant l`intervention du président ivoirien, différents intervenants se sont succédés à la tribune ,notamment, Birama SIDIBE vice présidente de la banque islamique de développent ainsi que que le représentant spécial su SG des Nations Unies en Côte d`Ivoire, Bert Koenders . La cérémonie d`ouverture été suivie par la présentation de la nouvelle vision du développement de la Côte d`Ivoire exécuté par le premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan. C`est la contribution des partenaires présent dans le pays qui a conclu la première journeé de cette importante reunion.
Outre le chef de l’Etat, ont pris part à cette importante rencontre: les ministres d’Etat, le ministre des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, le ministre du Plan et du développement, Mabri Toikeusse, le ministre de l’Emploi, des affaires sociales et de la formation professionnelle Dosso Moussa, les ministres des Infrastructures économiques, Patrick Achi, des Mines, du pétrole et de l’énergie, Adama Toungara, le Ministre Billon du Commerce, de l` artisanat et promotion des PME et d’autres membres du gouvernement.
Notons par ailleurs que les principaux enjeux du Plan national de développement s’articulent autour de la transformation structurelle de l’économie ivoirienne et de la forte implication des nationaux dans la gestion et le contrôle du système de production.
DA
