Le procès de confirmation des charges contre l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, et le regain de tension au Mali suite à la démission ‘’forcée’’ du premier ministre Cheick Modibo Diarra, occupent une place de choix dans les colonnes des journaux parus mercredi dans la capitale économique ivoirienne.
‘’La CPI propose février 2013 pour l’audience de confirmation’’ des charges contre Laurent Gbagbo, écrit Fraternité Matin, le quotidien pro-gouvernemental.
‘’Confirmation des charges maintes fois reportées de Gbagbo, la CPI dit stop’’, souligne le Patriote précisant que ‘’l’ex dictateur sera devant le juge en février 2013’’.
Pour Notre Voie, il y a eu un débat ‘’houleux’’ entre la défense et le procureur, hier lors du procès de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale (CPI). Pour ce journal, Guillaume Soro, le leader de l’ex- rébellion ivoirienne est toujours menacé par la CPI.
‘’Le sort de Gbagbo connu en février 2013’’, titre l’Inter, ajoutant que la CPI a insisté hier sur le cas de Simone Gbagbo, alors que pour le Nouveau Réveil, Laurent Gbagbo a perdu un ‘’round crucial, hier’’.
‘’La CPI s’embrouille’’, souligne le Temps, dénonçant des hésitations d’une ‘’Cour discréditée’’.
Selon Nord Sud Quotidien, le juge de la CPI s’est fâché et estime qu’il ‘’faut juger rapidement Laurent Gbagbo’’.
‘’Fête de fin d’année, le cadeau de la CPI à Gbagbo’’, ironise l’Expression en s’appuyant sur le procès de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien fixé au mois de février 2013.
Quand au Démocrate, il se veut plus précis sur la date en révélant dans ses colonnes que c’est le 13 février 2013 qui a été arrêtée par la CPI pour l’audience de confirmation des charges contre Laurent Gbagbo.
Soir Info, annonce pour sa part connaitre la manière dont le président sénégalais Macky Sall s’est retrouvé dans la médiation entre Alassane Ouattara et son opposition.
‘’Tout sur la rencontre de Dakar’’, renchérit le Temps qui estime que le président Alassane Ouattara ‘’trompe’’ ses militants au regard de ce qui a été dit dans la capitale sénégalaise.
Le retour des militaires au devant de la scène politique malienne avec la démission forcée du premier ministre Cheick Modibo Diarra est également au menu de la presse ivoirienne.
A ce sujet, la Matinale dénonce une ‘’pagaille’’ et un ‘’désordre’’ à Bamako. Le confrère alerte que ‘’le Mali est au bord du gouffre’’ avec le premier ministre Cheick Modibo Diarra qui a été ‘’séquestré’’ et ‘’contraint’’ à la démission.
Pour le Démocrate, le capitaine Amadou Aya Sanogo défie encore la CEDEAO.
‘’Mali : Démission surprise du Premier ministre : Sanogo, le maître incontesté du pays’’, estime l’Inter.
Le Premier ministre malien, Cheikh Modibo Diarra, a démissionné lundi sans toutefois dire les ‘’vraies raisons de cette décision’’. Mais apparemment, poursuit l’Inter ‘’l'homme ne supporterait plus les incessantes immixtions de l'ex-chef de la junte dans la gestion du pouvoir’’.
Nommé le 17 avril 2012, le Premier ministre malien vient de rendre le tablier après seulement huit mois d'exercice. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'astrophysicien aura fait un passage de météore à la tête du gouvernement ivoirien, conclut l’Inter.
LS/od/APA
‘’La CPI propose février 2013 pour l’audience de confirmation’’ des charges contre Laurent Gbagbo, écrit Fraternité Matin, le quotidien pro-gouvernemental.
‘’Confirmation des charges maintes fois reportées de Gbagbo, la CPI dit stop’’, souligne le Patriote précisant que ‘’l’ex dictateur sera devant le juge en février 2013’’.
Pour Notre Voie, il y a eu un débat ‘’houleux’’ entre la défense et le procureur, hier lors du procès de Laurent Gbagbo à la Cour pénale internationale (CPI). Pour ce journal, Guillaume Soro, le leader de l’ex- rébellion ivoirienne est toujours menacé par la CPI.
‘’Le sort de Gbagbo connu en février 2013’’, titre l’Inter, ajoutant que la CPI a insisté hier sur le cas de Simone Gbagbo, alors que pour le Nouveau Réveil, Laurent Gbagbo a perdu un ‘’round crucial, hier’’.
‘’La CPI s’embrouille’’, souligne le Temps, dénonçant des hésitations d’une ‘’Cour discréditée’’.
Selon Nord Sud Quotidien, le juge de la CPI s’est fâché et estime qu’il ‘’faut juger rapidement Laurent Gbagbo’’.
‘’Fête de fin d’année, le cadeau de la CPI à Gbagbo’’, ironise l’Expression en s’appuyant sur le procès de l’ancien Chef de l’Etat ivoirien fixé au mois de février 2013.
Quand au Démocrate, il se veut plus précis sur la date en révélant dans ses colonnes que c’est le 13 février 2013 qui a été arrêtée par la CPI pour l’audience de confirmation des charges contre Laurent Gbagbo.
Soir Info, annonce pour sa part connaitre la manière dont le président sénégalais Macky Sall s’est retrouvé dans la médiation entre Alassane Ouattara et son opposition.
‘’Tout sur la rencontre de Dakar’’, renchérit le Temps qui estime que le président Alassane Ouattara ‘’trompe’’ ses militants au regard de ce qui a été dit dans la capitale sénégalaise.
Le retour des militaires au devant de la scène politique malienne avec la démission forcée du premier ministre Cheick Modibo Diarra est également au menu de la presse ivoirienne.
A ce sujet, la Matinale dénonce une ‘’pagaille’’ et un ‘’désordre’’ à Bamako. Le confrère alerte que ‘’le Mali est au bord du gouffre’’ avec le premier ministre Cheick Modibo Diarra qui a été ‘’séquestré’’ et ‘’contraint’’ à la démission.
Pour le Démocrate, le capitaine Amadou Aya Sanogo défie encore la CEDEAO.
‘’Mali : Démission surprise du Premier ministre : Sanogo, le maître incontesté du pays’’, estime l’Inter.
Le Premier ministre malien, Cheikh Modibo Diarra, a démissionné lundi sans toutefois dire les ‘’vraies raisons de cette décision’’. Mais apparemment, poursuit l’Inter ‘’l'homme ne supporterait plus les incessantes immixtions de l'ex-chef de la junte dans la gestion du pouvoir’’.
Nommé le 17 avril 2012, le Premier ministre malien vient de rendre le tablier après seulement huit mois d'exercice. Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'astrophysicien aura fait un passage de météore à la tête du gouvernement ivoirien, conclut l’Inter.
LS/od/APA
