Il ne faut pas en rire ! Nos amis de la refondation ne manquent aucune occasion pour se rendre ridicules. Ils semblent même exceller dans l’art de tomber dans le burlesque et le cocasse. Avant-hier, un de leurs relais nous apprenaient que depuis sa détention à La Haye, Laurent Gbagbo est devenu très populaire. Ce n’est pas une blague ! L’adjuvant est tellement convaincu qu’il est persuadé de pouvoir nous contraindre à gober ce discours inopérant. En toute chose, comme dirait ce célèbre humoriste, « il y a deux cas ». On peut être populaire, soit en bien, soit en mal. Autant des gens sont célèbres magnifiquement, autant d’autres le sont tristement. L’histoire retient les hauts faits des grands hommes qui auront marqué leur temps. Tout comme il garde aux orties, ceux qui auront été des taches noires et des parenthèses honteuses, pour éviter une répétition de la tragédie. Sans nul doute, Laurent Gbagbo qui a atteint le summum du populisme, est populaire pour avoir réussi à se mettre dans la peau des anti-héros et des contre-valeurs qui ont balafré et défiguré le continent noir et le monde entier.
Comment ne pas être populaire quand on a conduit à la guerre, une nation connue pour sa tradition de paix, de solidarité, de fraternité et d’hospitalité ? Comment ne pas provoquer la curiosité planétaire quand on a gouverné pendant dix ans dans le sang de la République ? On ne peut qu’être « populaire » quand on a régné à coups de complots, créé plusieurs guerres, acheté des armes à hauteur de 800 milliards, lancé des bombes et obus sur ses propres concitoyens et fait plus de 3000 victimes. Oui, Laurent Gbagbo est célèbre et populaire ! D’une popularité répugnante pour avoir planté une dague au c?ur de son pays. Il est tellement populaire qu’il est le premier président ivoirien à être détenu dans une prison internationale. Assurément, cela est une prouesse et ne peut qu’attirer le regard de l’opinion nationale et internationale. Nous sommes d’avis avec ces hagiographes que le camarade socialiste est d’une popularité déconcertante, voire hors-norme et qui dépasse l’entendement humain.
Comment ne pas être populaire quand on a conduit à la guerre, une nation connue pour sa tradition de paix, de solidarité, de fraternité et d’hospitalité ? Comment ne pas provoquer la curiosité planétaire quand on a gouverné pendant dix ans dans le sang de la République ? On ne peut qu’être « populaire » quand on a régné à coups de complots, créé plusieurs guerres, acheté des armes à hauteur de 800 milliards, lancé des bombes et obus sur ses propres concitoyens et fait plus de 3000 victimes. Oui, Laurent Gbagbo est célèbre et populaire ! D’une popularité répugnante pour avoir planté une dague au c?ur de son pays. Il est tellement populaire qu’il est le premier président ivoirien à être détenu dans une prison internationale. Assurément, cela est une prouesse et ne peut qu’attirer le regard de l’opinion nationale et internationale. Nous sommes d’avis avec ces hagiographes que le camarade socialiste est d’une popularité déconcertante, voire hors-norme et qui dépasse l’entendement humain.
