La région du Tchologo connaîtra d’ici peu un nouvel essor économique et social. En effet, la ville de Ferkéssédougou va abriter le troisième port du pays. Il s’agit d’un port sec. Selon notre source, des experts du Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd) et du Port autonome d’Abidjan (Paa) ont échangé, récemment, à la mairie de Ferkéssédougou avec les populations, sur le projet de construction de cette infrastructure économique. Selon les experts, elle vise à désengorger le Port autonome d’Abidjan. Pour le Directeur général adjoint du Port autonome d’Abidjan, Daniel Kouamé Djè, cet échange avec les populations de Ferkessédougou vise à recueillir leurs sentiments sur des questions techniques, sociales et environnementales liées au projet de construction de ce port sec dans leur localité.
Notons que quatre sites ont été identifiés afin de mener des études techniques préalables, avant de passer à la phase de réalisation de ce projet. Des services portuaires et annexes y seront représentés. Entre autres, la manutention des marchandises, le regroupement des sociétés, les services douaniers, des banques portuaires, le développement du transport ferroviaire et des dépôts d’hydrocarbures. Le projet a pour objectifs majeurs de favoriser davantage le transport et les échanges vers les pays de l'hinterland, Mali, Burkina, Niger, par la réduction des coûts de transit, de réduire la lenteur du circuit ainsi que d'autres soucis spécifiques au transit des marchandises. Il s’inscrit aussi dans le cadre de la restructuration de l’économie de la région.
Lazare Kouadio
Notons que quatre sites ont été identifiés afin de mener des études techniques préalables, avant de passer à la phase de réalisation de ce projet. Des services portuaires et annexes y seront représentés. Entre autres, la manutention des marchandises, le regroupement des sociétés, les services douaniers, des banques portuaires, le développement du transport ferroviaire et des dépôts d’hydrocarbures. Le projet a pour objectifs majeurs de favoriser davantage le transport et les échanges vers les pays de l'hinterland, Mali, Burkina, Niger, par la réduction des coûts de transit, de réduire la lenteur du circuit ainsi que d'autres soucis spécifiques au transit des marchandises. Il s’inscrit aussi dans le cadre de la restructuration de l’économie de la région.
Lazare Kouadio
