La parole s’envole, les écrits restent. Le ministre Maurice Bandama a dit, le confrère a écrit. Donc, il y a des traces. Pourquoi cette volte-face? L’homme a-t-il été contraint quelque part et par qui? Etant un homme responsable, il avait la possibilité d’assumer ce qu’il a dit : refus du cumul de postes. Il l’aurait fait, cela l’aurait grandi. Mais il s’est non seulement trahi, mais en plus, il n’a pas tenu sa parole vis-à-vis de la communauté nationale et internationale qui suit de près les élections locales. Lui qui a voulu donner la leçon est finalement est rattrapé par ses propres déclarations. Pour engagement non tenu que va-t-il dire au cours de la campagne, pour convaincre tous ces électeurs qui semblent déjà être surpris par son revirement ?
HK
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