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Art et Culture Publié le jeudi 7 mars 2013 | Jeune Afrique

"Après la plainte de Michel Gbagbo contre Soro, forte pression sur Ouattara", estime la presse ivoirienne

© Jeune Afrique Par DR
Crise post-électorale: la presse nationale dans les kiosques à journaux
ABIDJAN, 1er mars 2011. Un homme devant un kiosque
APA-Abidjan (Côte d'Ivoire) - Les journaux ivoiriens reviennent longuement dans leur parution de ce jeudi sur la plainte que Michel Gbagbo a déposée devant la justice française contre Guillaume Kigbafori Soro, estimant que cette situation met une "forte pression" sur le Chef de l’Etat Alassane Ouattara.

"Après la plainte de Michel Gbagbo, forte pression sur Ouattara", souligne Soir Info, ajoutant que "Soro manœuvre fort" alors que l'avocate du fils de Gbagbo parle de l'évolution du dossier devant la justice française.

Dans le même registre, L'Inter met l'accent sur le "sort" réservé au président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Kigbafori Soro, par ailleurs leader de l'ex- rébellion des Forces Nouvelles.

Séquestration et maltraitance de Michel Gbagbo, Soro panique et accuse, constate LG Infos. "J'ai exécuté un ordre de Ouattara", se défend M. Soro dans les colonnes de ce quotidien qui note un "malaise au sommet de l'Etat".

"Séquestration et torture de Gbagbo : C'est Ouattara qui a donné l'ordre", accuse de nouveau Guillaume Soro dont les propos sont rapportés cette fois-ci par le Quotidien d'Abidjan.

Le Temps renchérit dans le même sens et écrit que "poursuivi par la justice française, Soro panique et cite ses complices", quand L'Intelligent d'Abidjan affiche que Hollande dépêche un émissaire chez Ouattara.

Ce journal qui parle d'une diplomatie, "secrète", révèle que la libération de Laurent Gbagbo, Simone Gbagbo, Michel Gbagbo et la réconciliation nationale seront au menu de cette mission souterraine.

Pour Le Jour Plus, après avoir commis des crimes de sang et des exactions pendant la crise post-électorale, Simone Gbagbo, Blé Goudé, le Commandant Jean Noël Abehi et des chefs de guerre sont en route pour la Cour Pénale Internationale (CPI) où se trouve depuis le 29 novembre 2011, l'ex-président Laurent Gbagbo.


LS/od/APA
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