En Côte d’Ivoire, le déplacement de trois jours du chef d’état-major des FRCI dans l’Ouest pour encourager les militaires chargés de sécuriser la région frontalière avec le Liberia a été apprécié par ses hommes. Les responsables de l’administration locale ont en revanche peu apprécié de ne pas être conviés à cette visite, puisque ce sont eux qui sont aux premières loges pour accueillir les sollicitations de la population, exposée depuis environ un an et demi à des attaques récurrentes de miliciens venus du Liberia. Les deux dernières ont fait 13 morts et plus de 5 000 déplacés. Rencontre avec quelques habitants. suite de l'article sur RFI 
