L’ancien Premier ministre malien, Modibo Sidibé a été reçu mardi à Abidjan par le Chef de l’Etat ivoirien, Alassane Ouattara, par ailleurs président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).
Les deux hommes ont fait un tour d’horizon de l’actualité sous régionale, notamment la crise malienne pour laquelle toute la communauté internationale se mobilise.
Modibo Sidibé, ancien Premier ministre du Président déchu, Amadou Toumani Touré, est candidat à la présidentielle du 28 juillet prochain au Mali.
Ses partisans ont récemment créée un nouveau parti, les ‘’FARE’’ (Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence).
La Conférence des donateurs réunis à Bruxelles a promis le mercredi dernier, la mobilisation d’un montant global de 3,2 milliards d’euros (plus de 2000 milliards de fcfa) en vue du financement du plan de relance durable initié par le gouvernement malien en vue d’une sortie de crise dans le pays.
L’organisation des élections présidentielles fixées au 28 juillet prochain et la restauration des infrastructures de base (école, santé, eau, électricité,…) ainsi que la sécurité, sont des défis majeurs à relever par le gouvernement intérimaire du Mali.
LS/APA
Les deux hommes ont fait un tour d’horizon de l’actualité sous régionale, notamment la crise malienne pour laquelle toute la communauté internationale se mobilise.
Modibo Sidibé, ancien Premier ministre du Président déchu, Amadou Toumani Touré, est candidat à la présidentielle du 28 juillet prochain au Mali.
Ses partisans ont récemment créée un nouveau parti, les ‘’FARE’’ (Forces alternatives pour le renouveau et l’émergence).
La Conférence des donateurs réunis à Bruxelles a promis le mercredi dernier, la mobilisation d’un montant global de 3,2 milliards d’euros (plus de 2000 milliards de fcfa) en vue du financement du plan de relance durable initié par le gouvernement malien en vue d’une sortie de crise dans le pays.
L’organisation des élections présidentielles fixées au 28 juillet prochain et la restauration des infrastructures de base (école, santé, eau, électricité,…) ainsi que la sécurité, sont des défis majeurs à relever par le gouvernement intérimaire du Mali.
LS/APA
