Monsieur le Président François HOLLANDE,
Messieurs les Chefs d’Etat et de Gouvernement,
Monsieur le Président Abdou DIOUF,
Monsieur le Président Henri Konan BEDIE,
Mesdames et Messieurs les Présidents des Institutions de la République de Côte d’Ivoire,
Madame Irina BOKOVA, Directrice générale de l’UNESCO,
Monsieur le Directeur exécutif du Prix,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Monsieur le Président et honorables membres du Jury,
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
C’est avec un plaisir renouvelé et une grande fierté que je participe, cette année encore, à la cérémonie de remise du Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY pour la recherche de la Paix, en cette prestigieuse Maison de l’UNESCO, symbole de culture et de paix.
Je voudrais donc réitérer à vous tous, éminentes personnalités et amis de la Côte d’Ivoire, mes très sincères remerciements, pour l’intérêt tout particulier que vous accordez à ce prix, auquel toute la Côte d’Ivoire est attachée, car il pérennise la philosophie et l’oeuvre de paix du Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, Père de la Nation ivoirienne.
Je remercie tout particulièrement Madame la Directrice générale de l’UNESCO, Madame Irina BOKOVA, Monsieur Alioune TRAORE, Secrétaire exécutif du prix, le Président Abdou DIOUF, grand homme d’Etat, qui fait la fierté de notre continent, et mon aîné le Président Henri Konan BEDIE.
Je salue la présence parmi nous de Madame Thérèse HOUPHOUET-BOIGNY, qui met toujours un point d’honneur à être présente partout où la mémoire de son illustre époux est magnifiée.
Je voudrais enfin, au nom du peuple ivoirien, féliciter les membres du Jury qui, une fois encore, ont su rallier les suffrages de l’opinion publique internationale, par la pertinence du choix porté sur le Président François HOLLANDE.
Le hasard du calendrier faisant bien les choses, la cérémonie de ce jour se tient au lendemain de la commémoration du cinquantenaire de l’Union africaine, qui a enregistré la remarquable participation de notre illustre récipiendaire.
La présence de nombreux Chefs d’Etat à cette cérémonie de remise de Prix au Président François Hollande lui confère un cachet particulier. Je voudrais vous en remercier vivement car ce faisant, vous rendez aussi hommage à la mémoire du Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, qui fut parmi ceux qui ont porté sur les fonds baptismaux l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), devenue l’Union Africaine (UA).
Grâce à la politique d’ouverture, d’accueil et d’hospitalité de Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, la Côte d’Ivoire peut légitimement s’enorgueillir d’être devenue les Etats-Unis d’Afrique en miniature, le « pays de la vraie fraternité » comme le proclame l’Abidjanaise, notre hymne national.
Excellences Messieurs les Présidents,
Madame la Directrice Générale,
Honorables invités,
Mesdames et Messieurs,
A travers la désignation du Président François HOLLANDE, le jury international a primé le courage d’un homme d’Etat qui préside aux destinées d’une grande Nation. En posant l’acte décisif qui a stoppé la progression des terroristes vers le sud du Mali et les pays de la sous-région, le Président Hollande n’aura pas fait que sauver une nation en danger. Il aura contribué à contenir le péril terroriste qui menaçait de s’étendre sur toute la région sahélo-sahélienne voire au-delà.
Par votre décision courageuse, vous avez redonné vie aux idéaux de la Charte des Nations Unies qui fondent notre engagement à défendre la paix et la sécurité des Nations.
Monsieur le Président HOLLANDE,
Vous avez manifestement fait vôtre le proverbe africain qui dit que "si vous n’aidez pas votre voisin à éteindre le feu qui brûle sa case, la vôtre ne sera pas épargnée par les flammes".
En hommes épris de paix, nous devons tous veiller à circonscrire les sinistres qui nous menacent. C’est pourquoi, nombreux sont les chefs d’Etat africains qui ont accueilli favorablement votre proposition d’accueillir, en décembre prochain, à Paris, une conférence sur la sécurité en Afrique.
Par ailleurs, nous nous réjouissons du fait que le nom du président François HOLLANDE soit désormais associé au Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, qui perpétue la mémoire du Premier Président de la République de Côte d’Ivoire, dont le combat politique a été constamment marqué par la recherche permanente de la Paix entre les hommes et entre les Nations.
Messieurs les Présidents,
Madame la Directrice Générale,
Mesdames et Messieurs,
La cérémonie de remise de Prix qui nous réunit ce jour revêt à nos yeux un caractère tout à fait singulier car elle nous donne l’occasion de nous rappeler, qu’il convient, en tout temps et en toutes circonstances, de cultiver et de préserver la paix, condition sine qua non de tout peuple à prétendre au progrès.
C’est pourquoi, ainsi que nous l’affirmions lors de la dernière remise du Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY en ces mêmes lieux, nous réitérons notre ferme volonté de promouvoir, avec le concours de l’UNESCO et de la communauté internationale, la culture de la paix et du développement humain en Afrique et partout dans le monde.
Madame la Directrice générale, nous savons pouvoir compter sur l’Unesco pour réaliser ce destin qui ne sera possible que dans une Afrique en Paix et dans un monde plus juste.
Je vous remercie.
Messieurs les Chefs d’Etat et de Gouvernement,
Monsieur le Président Abdou DIOUF,
Monsieur le Président Henri Konan BEDIE,
Mesdames et Messieurs les Présidents des Institutions de la République de Côte d’Ivoire,
Madame Irina BOKOVA, Directrice générale de l’UNESCO,
Monsieur le Directeur exécutif du Prix,
Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Ambassadeurs,
Monsieur le Président et honorables membres du Jury,
Honorables invités, Mesdames et Messieurs,
C’est avec un plaisir renouvelé et une grande fierté que je participe, cette année encore, à la cérémonie de remise du Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY pour la recherche de la Paix, en cette prestigieuse Maison de l’UNESCO, symbole de culture et de paix.
Je voudrais donc réitérer à vous tous, éminentes personnalités et amis de la Côte d’Ivoire, mes très sincères remerciements, pour l’intérêt tout particulier que vous accordez à ce prix, auquel toute la Côte d’Ivoire est attachée, car il pérennise la philosophie et l’oeuvre de paix du Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, Père de la Nation ivoirienne.
Je remercie tout particulièrement Madame la Directrice générale de l’UNESCO, Madame Irina BOKOVA, Monsieur Alioune TRAORE, Secrétaire exécutif du prix, le Président Abdou DIOUF, grand homme d’Etat, qui fait la fierté de notre continent, et mon aîné le Président Henri Konan BEDIE.
Je salue la présence parmi nous de Madame Thérèse HOUPHOUET-BOIGNY, qui met toujours un point d’honneur à être présente partout où la mémoire de son illustre époux est magnifiée.
Je voudrais enfin, au nom du peuple ivoirien, féliciter les membres du Jury qui, une fois encore, ont su rallier les suffrages de l’opinion publique internationale, par la pertinence du choix porté sur le Président François HOLLANDE.
Le hasard du calendrier faisant bien les choses, la cérémonie de ce jour se tient au lendemain de la commémoration du cinquantenaire de l’Union africaine, qui a enregistré la remarquable participation de notre illustre récipiendaire.
La présence de nombreux Chefs d’Etat à cette cérémonie de remise de Prix au Président François Hollande lui confère un cachet particulier. Je voudrais vous en remercier vivement car ce faisant, vous rendez aussi hommage à la mémoire du Président Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, qui fut parmi ceux qui ont porté sur les fonds baptismaux l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA), devenue l’Union Africaine (UA).
Grâce à la politique d’ouverture, d’accueil et d’hospitalité de Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, la Côte d’Ivoire peut légitimement s’enorgueillir d’être devenue les Etats-Unis d’Afrique en miniature, le « pays de la vraie fraternité » comme le proclame l’Abidjanaise, notre hymne national.
Excellences Messieurs les Présidents,
Madame la Directrice Générale,
Honorables invités,
Mesdames et Messieurs,
A travers la désignation du Président François HOLLANDE, le jury international a primé le courage d’un homme d’Etat qui préside aux destinées d’une grande Nation. En posant l’acte décisif qui a stoppé la progression des terroristes vers le sud du Mali et les pays de la sous-région, le Président Hollande n’aura pas fait que sauver une nation en danger. Il aura contribué à contenir le péril terroriste qui menaçait de s’étendre sur toute la région sahélo-sahélienne voire au-delà.
Par votre décision courageuse, vous avez redonné vie aux idéaux de la Charte des Nations Unies qui fondent notre engagement à défendre la paix et la sécurité des Nations.
Monsieur le Président HOLLANDE,
Vous avez manifestement fait vôtre le proverbe africain qui dit que "si vous n’aidez pas votre voisin à éteindre le feu qui brûle sa case, la vôtre ne sera pas épargnée par les flammes".
En hommes épris de paix, nous devons tous veiller à circonscrire les sinistres qui nous menacent. C’est pourquoi, nombreux sont les chefs d’Etat africains qui ont accueilli favorablement votre proposition d’accueillir, en décembre prochain, à Paris, une conférence sur la sécurité en Afrique.
Par ailleurs, nous nous réjouissons du fait que le nom du président François HOLLANDE soit désormais associé au Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY, qui perpétue la mémoire du Premier Président de la République de Côte d’Ivoire, dont le combat politique a été constamment marqué par la recherche permanente de la Paix entre les hommes et entre les Nations.
Messieurs les Présidents,
Madame la Directrice Générale,
Mesdames et Messieurs,
La cérémonie de remise de Prix qui nous réunit ce jour revêt à nos yeux un caractère tout à fait singulier car elle nous donne l’occasion de nous rappeler, qu’il convient, en tout temps et en toutes circonstances, de cultiver et de préserver la paix, condition sine qua non de tout peuple à prétendre au progrès.
C’est pourquoi, ainsi que nous l’affirmions lors de la dernière remise du Prix Félix HOUPHOUËT-BOIGNY en ces mêmes lieux, nous réitérons notre ferme volonté de promouvoir, avec le concours de l’UNESCO et de la communauté internationale, la culture de la paix et du développement humain en Afrique et partout dans le monde.
Madame la Directrice générale, nous savons pouvoir compter sur l’Unesco pour réaliser ce destin qui ne sera possible que dans une Afrique en Paix et dans un monde plus juste.
Je vous remercie.