Au Mali comme en Côte d’Ivoire, le travail de l’opérateur technique chargé de l’enrôlement et de la confection des cartes d’identité et cartes d’électeurs a été salué par tous les acteurs politiques. Pour ce qui est de la Côte d’Ivoire, l’aspect rabougri ( pour emprunter une expression de l’ex Premier ministre Ahoussou Jeannot au sujet des performances du Pdci aux législatives de décembre 2011) interpelle à nouveau eu égard à des indications données au sujet du Mali.
Selon les informations recueillies, ce sont 7 millions de cartes qui seront distribuées dans le cadre de l'élection présidentielle du 28 Juillet prochain, dont la campagne a démarré hier dimanche. Comment se fait-il que le Mali a plus d’électeurs potentiels, que la Côte d’Ivoire après le Ghana ? Si les uns peuvent être tentés d’expliquer cela par le taux élevé de populations étrangères en Côte d’Ivoire, les autres estiment que cela est plutôt dû au fait, que de nombreux habitants et résidents qui sont Ivoiriens, et qui ont droit à la nationalité ivoirienne, n’ont pas été considérés comme tels par l’administration. A ce titre ces Ivoiriens potentiels sont restés en marge de l’identification. Après les ''vrais vrais'' Ivoiriens qui ont osé le déplacement pour se faire enrôler, et après le tamisage des cas douteux, de la liste grise et tous les croisements, une liste d’au moins 6 millions d’Ivoiriens et Ivoiriennes majeurs ayant le droit de participer à une élection, ou d’être éligibles s’ils remplissent les conditions autres que celle de la nationalité était sortie des labos. Lors de la crise électorale, aucune critique n’a été émise sur la qualité ni la crédibilité de cette liste.
Avec le nouveau recensement lancé par le gouvernement, des données plus actualisées seront disponibles, pour avoir une idée exacte de la population ivoirienne, des classifications. Au même moment, le débat sur la nationalité ivoirienne en cours, et qui sera bientôt soumis aux députés devra permettre d’en savoir davantage sur la question. D’ici là, à la lumière des difficultés ayant précédé le consensus autour du processus de recensement en Guinée, les spécialistes, des observateurs avertis et même les hommes de la rue, saluent l’expertise de l’opérateur technique choisi par les autorités maliennes. Un opérateur qui a fait ses preuves en Côte d’Ivoire au Kenya et plusieurs autres pays aussi bien sur le continent qu’en dehors. Sans tambour ni trompette.
C.K
Selon les informations recueillies, ce sont 7 millions de cartes qui seront distribuées dans le cadre de l'élection présidentielle du 28 Juillet prochain, dont la campagne a démarré hier dimanche. Comment se fait-il que le Mali a plus d’électeurs potentiels, que la Côte d’Ivoire après le Ghana ? Si les uns peuvent être tentés d’expliquer cela par le taux élevé de populations étrangères en Côte d’Ivoire, les autres estiment que cela est plutôt dû au fait, que de nombreux habitants et résidents qui sont Ivoiriens, et qui ont droit à la nationalité ivoirienne, n’ont pas été considérés comme tels par l’administration. A ce titre ces Ivoiriens potentiels sont restés en marge de l’identification. Après les ''vrais vrais'' Ivoiriens qui ont osé le déplacement pour se faire enrôler, et après le tamisage des cas douteux, de la liste grise et tous les croisements, une liste d’au moins 6 millions d’Ivoiriens et Ivoiriennes majeurs ayant le droit de participer à une élection, ou d’être éligibles s’ils remplissent les conditions autres que celle de la nationalité était sortie des labos. Lors de la crise électorale, aucune critique n’a été émise sur la qualité ni la crédibilité de cette liste.
Avec le nouveau recensement lancé par le gouvernement, des données plus actualisées seront disponibles, pour avoir une idée exacte de la population ivoirienne, des classifications. Au même moment, le débat sur la nationalité ivoirienne en cours, et qui sera bientôt soumis aux députés devra permettre d’en savoir davantage sur la question. D’ici là, à la lumière des difficultés ayant précédé le consensus autour du processus de recensement en Guinée, les spécialistes, des observateurs avertis et même les hommes de la rue, saluent l’expertise de l’opérateur technique choisi par les autorités maliennes. Un opérateur qui a fait ses preuves en Côte d’Ivoire au Kenya et plusieurs autres pays aussi bien sur le continent qu’en dehors. Sans tambour ni trompette.
C.K
