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Économie Publié le mardi 20 août 2013 | AIP

Le Japon veut participer à une production suffisante de riz en Côte d’Ivoire

© AIP Par DR
Visite terrain : le Ministre de l`Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly à Nestlé
Jeudi 28 mars 2013. Abidjan. Zone industrielle de Yopougon. Le Ministre de l`Agriculture, Mamadou Sangafowa Coulibaly visite les installations de Nestlé, en présence de MM. Dr Diop Sérigne, Directeur du Centre de Recherche et de Développement de Nestlé, et George N`Dia Coffie, Administrateur de Nestlé Côte d`Ivoire
Le ministère ivoirien de l’Agriculture(MINAGRI) et l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA, en anglais) procéderont, mardi, à la signature à Abidjan d’un projet relatif à la promotion du riz local à la direction générale de la planification, du contrôle des projets et des statistiques, annonce un communiqué dont l’AIP a reçu copie.

Selon la présentation du projet, ‘’le riz est certes l’un des aliments de base les plus consommés en Côte d’Ivoire, mais 70% de la demande totale (1,4 million de tonnes en 2011) est assurée avec du riz importé’’, et que ‘’l’écart entre la demande et la production locale se creuse davantage en raison de l’augmentation drastique de la consommation et de la stagnation de la production locale’’.

Le projet souligne que ’’l’augmentation de la consommation de riz est principalement causée par une forte croissance de la population, principalement dans les villes. Et la faible production est due à ‘’une faible productivité avec une offre limitée des services de vulgarisation ainsi que l’accès aux intrants tels que les semences, les engrais et l’utilisation inefficace des terres propices au riz".

Dans ce contexte, le MINAGRI et la JICA ont conclu d’appuyer l’augmentation de la production et la distribution du riz dans les régions du Bélier et du Gbékè ainsi que dans le district autonome de Yamoussoukro, à travers la forme de coopération qui comprend la formation technique par des experts japonais.

Ce projet permettra également l’approvisionnement en intrants et matériels et la mise en réseau de tous les acteurs de la chaîne des valeurs du riz, avec l’appui du secteur privé. Il va durer cinq ans, et débute à partir de janvier 2014, indique-t-on.

amak/kkp/nf
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