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Économie Publié le lundi 16 septembre 2013 | L’intelligent d’Abidjan

Régulation sur l’électricité et les télécommunications / Après la formation de hauts cadres d’Abidjan : les participants appellent à un renouvellement de l’expérience

© L’intelligent d’Abidjan Par Atapointe
Energie : l’Etat ivoirien signe plusieurs accords de financement avec la Banque Mondiale et Foxtrot international
Mercredi 31 juillet 2013. Abidjan. Le gouvernement ivoirien, représenté par la ministre auprès du premier ministre chargée de l’économie et des finances, Kaba Nialé et le ministre de l’Energie et du Petrole, Adama Toungara signe plusieurs accords de financement avec la Banque mondiale et Froxtrot international dans le cadre de l’extension du bloc CI-27 dans le secteur de l’énergie.
Le séminaire de formation sur la régulation de l’industrie de réseaux : électricité et télécommunications a fermé ses portes le vendredi 13 septembre à Abidjan. Ouvert le lundi dernier par le ministre de l’Energie et du Pétrole, Adama Toungara, cette session d’Abidjan a été organisée par l’Autorité nationale de régulation du secteur de l’électricité (ANARE) en partenariat avec l’Institut de la francophonie pour le développement durable (IFDD), organe de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

Et c’est Fatima Thès, directeur de cabinet adjoint du ministère de l’Energie et du Pétrole qui a clos cette session de formation. Elle a noté un satisfécit à l’issue des 5 jours de travaux. Mme Thès a signifié que des autorités de régulation indépendantes répondent aux attentes des populations car ces autorités permettent d’avoir accès aux services de base à moindre coût. «D’où l’importance du renforcement de capacités des cadres des industries de réseaux», a-t-elle argumenté. Pour le directeur de cabinet, la délocalisation à Abidjan de l’une des meilleures formations en matière de régulation à travers le monde est le signe de la confiance retrouvée de la Côte d’Ivoire. «Nous souhaitons que cette expérience soit renouvelée et perpétuelle tant les besoins sont réels», a soupiré Fatima Thès. Ibrahim Dabo, au nom de l’IFDD est revenu sur le caractère exceptionnel de la délocalisation à Abidjan. «Depuis le début de la formation en 1999 au Québec, elle a été délocalisée une seule fois à Athènes (Grèce) en 2009», a indiqué l’expert.

Pour lui à travers la mobilisation des différents formateurs, ce sont des perspectives de collaboration qui s’ouvrent avec l’ANARE. Puis de conclure sur cette boutade : «Nous aurions dû venir à Abidjan plus tôt». Quant aux bénéficiaires de la formation, par la voix de leur porte-parole, ils ont dit apprécier la pertinence des thèmes abordés et souhaité que l’expérience d’Abidjan se renouvelle. Mais pour les prochaines éditions, les participants ont appelé à des thèmes spécifiques comme les énergies renouvelables et une durée de formation plus longue.

FO
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