Un nouveau code minier sera soumis prochainement au gouvernement ivoirien, a annoncé le ministre de l’Industrie et des Mines Jean-Claude Brou alors qu’autorités et industriels du secteur son réunis pour deux jours à Abidjan afin d’élaborer ce texte.
"Il est urgent de trouver les voies et moyens pour intensifier l’exploration de notre sous-sol (...) et accélérer les investissements dans l’exploitation des gisements découverts", a estimé M. Brou.
Pour ce faire, il faut "moderniser" et "adapter" la législation minière pour tenir compte des "évolutions technologiques, techniques, sociales, environnementales", a-t-il observé lors de l’ouverture d’un atelier sur "la relecture du code minier".
"Dès la fin des travaux, nous nous attellerons à finaliser le projet de code minier qui sera soumis au gouvernement", a affirmé le ministre, promettant une "adoption prochaine" du texte.
"Le potentiel minier ivoirien est immense" mais "le niveau de production minière reste faible et l’industrie minière est très peu développée" en raison d’un "cadre législatif inadapté", a reconnu le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Ducan.
Le code minier ivoirien, qui date de 1995, est un outil dont la réforme est exigée par les industriels étrangers présents en Côte d’Ivoire.
Le 28 juillet, Adama Toungara, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, s’est vu retirer le portefeuille des mines, désormais confié au ministre de l’Industrie Jean Claude Brou. Il était critiqué notamment pour le retard pris dans la réforme du code minier.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a exprimé son ambition de faire de la Côte d’Ivoire un pays minier, alors que seuls l’or et le manganèse y sont pour l’heure extraits de manière industrielle. L’activité minière ne représente pas plus de 5% du produit intérieur brut, selon les données officielles.
Le sous-sol ivoirien contient des minerais très divers comme de l’or, du diamant, du fer, du nickel, du manganèse, de la bauxite ou bien du cuivre. Seuls l’or, le manganèse et le diamant sont exploités industriellement.
ck/jf/jmc
"Il est urgent de trouver les voies et moyens pour intensifier l’exploration de notre sous-sol (...) et accélérer les investissements dans l’exploitation des gisements découverts", a estimé M. Brou.
Pour ce faire, il faut "moderniser" et "adapter" la législation minière pour tenir compte des "évolutions technologiques, techniques, sociales, environnementales", a-t-il observé lors de l’ouverture d’un atelier sur "la relecture du code minier".
"Dès la fin des travaux, nous nous attellerons à finaliser le projet de code minier qui sera soumis au gouvernement", a affirmé le ministre, promettant une "adoption prochaine" du texte.
"Le potentiel minier ivoirien est immense" mais "le niveau de production minière reste faible et l’industrie minière est très peu développée" en raison d’un "cadre législatif inadapté", a reconnu le Premier ministre ivoirien, Daniel Kablan Ducan.
Le code minier ivoirien, qui date de 1995, est un outil dont la réforme est exigée par les industriels étrangers présents en Côte d’Ivoire.
Le 28 juillet, Adama Toungara, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie, s’est vu retirer le portefeuille des mines, désormais confié au ministre de l’Industrie Jean Claude Brou. Il était critiqué notamment pour le retard pris dans la réforme du code minier.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a exprimé son ambition de faire de la Côte d’Ivoire un pays minier, alors que seuls l’or et le manganèse y sont pour l’heure extraits de manière industrielle. L’activité minière ne représente pas plus de 5% du produit intérieur brut, selon les données officielles.
Le sous-sol ivoirien contient des minerais très divers comme de l’or, du diamant, du fer, du nickel, du manganèse, de la bauxite ou bien du cuivre. Seuls l’or, le manganèse et le diamant sont exploités industriellement.
ck/jf/jmc
