Daloa, Une nouvelle marque de riz local dénomée ‘’Koué’’, du nom du promoteur, a fait son apparition sur les différents marchés de la commune de Daloa, à la faveur de la journée internationale de l’alimentation célébrée chaque 16 octobre.
Pour le promoteur ivoirien, Luc Koué qui s’est confié mardi à l’AIP, il s’agit de professionnaliser la vente du riz local en lui donnant une marque à l’instar d’autres qualités de riz importé.
Le riz local est très prisé par les populations, mais il est la plupart du temps vendu dans des cuvettes ou des boîtes par les femmes sur les marchés avec des mesures d’hygiène approximatives qui le relèguent au second plan, a-t-il dit. "Mais aujourd’hui, notre projet consiste à donner un support ou un emballage pour pouvoir vendre ce riz selon les normes du commerce moderne", a poursuivi Luc Koué.
Ainsi le riz ‘’Koué’’, bien conditionné par une structure industrielle, se vend dans des sacs de 50 kg chez les boutiquiers et nombre de consommateurs semblent bien l’apprécier déjà. C’est pourquoi, le promoteur est en train d’étudier la possibilité de mettre également sur le marché des sacs de 25, 15 ou 5 kg, pour satisfaire la clientèle dans sa globalité.
Alors, pour éviter une rupture de stock, puisque le paddy traité est acheté chez les paysans, le promoteur invite les producteurs de la région ou d’ailleurs qui ne savent pas jusque-là comment écouler leur production de riz, à le contacter pour avoir un marché. De sorte que le projet, en plus des emplois qu’il crée, puisse également faire le bonheur des producteurs.
Aip
yy/kkp/cmas
Pour le promoteur ivoirien, Luc Koué qui s’est confié mardi à l’AIP, il s’agit de professionnaliser la vente du riz local en lui donnant une marque à l’instar d’autres qualités de riz importé.
Le riz local est très prisé par les populations, mais il est la plupart du temps vendu dans des cuvettes ou des boîtes par les femmes sur les marchés avec des mesures d’hygiène approximatives qui le relèguent au second plan, a-t-il dit. "Mais aujourd’hui, notre projet consiste à donner un support ou un emballage pour pouvoir vendre ce riz selon les normes du commerce moderne", a poursuivi Luc Koué.
Ainsi le riz ‘’Koué’’, bien conditionné par une structure industrielle, se vend dans des sacs de 50 kg chez les boutiquiers et nombre de consommateurs semblent bien l’apprécier déjà. C’est pourquoi, le promoteur est en train d’étudier la possibilité de mettre également sur le marché des sacs de 25, 15 ou 5 kg, pour satisfaire la clientèle dans sa globalité.
Alors, pour éviter une rupture de stock, puisque le paddy traité est acheté chez les paysans, le promoteur invite les producteurs de la région ou d’ailleurs qui ne savent pas jusque-là comment écouler leur production de riz, à le contacter pour avoir un marché. De sorte que le projet, en plus des emplois qu’il crée, puisse également faire le bonheur des producteurs.
Aip
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